tortures

Vendredi 27 janvier 2023 5 27 /01 /Jan /2023 16:52


 

 Lee a fait des miracles, mes genoux ne me lancent plus. Elle range son nécessaire dans un tiroir et finit son verre sans me lâcher des yeux. Je me sens tellement bien que j’en oublie la pauvre Isabelle pour profiter pleinement de l’attention que Madame daigne me consacrer. « As tu soif Sandrine ? »
« Oh oui Madame, s’il vous plaît. » En fait, je suis assoiffée. Ma gorge est aussi sèche qu’une éponge en plein soleil. 
« Tu peux te servir un verre. » Dit-elle en me désignant le plateau contenant les rafraîchissements. 
Non sans regrets, je quitte mon nid douillet. La carafe, remplie de thé aromatisé au citron dont les glaçons menacent de déborder, me fait saliver. Je m’en sers un grand verre avant de m’en délecter à grandes gorgées. 
« Tu devrais faire quelques brasses, ça te délasserait. »
« Excellente idée, je meurs d’envie d’en faire autant. » Dit l’asiatique en se levant et en se dénudant avec empressement. Son anatomie est parfaite. Je rêve depuis ma plus tendre enfance d’avoir un corps aussi bien fait, avec une vraie paire de seins comme les siens, des jambes aussi bien galbées et un bronzage intégral qui prouve qu’elle ne doit pas porter souvent un maillot. Mais lorsqu’elle se tourne, à mon grand étonnement, je constate que son corps est constellé de longues marques effilées qui s’entrecroisent et s’étendent du haut de son dos jusqu’au bas de ses cuisses. Des traces de coups qui, même si elles ne sont presque plus visibles, n’en proviennent pas moins d’un fouet ou d’une cravache ; peut-être même des deux. Son exhibition n’intéresse pas Madame dont les yeux ne me quittent pas. Je rougis en regardant mes pieds nus. Un court instant, je pense à lui demander si je peux quitter mon collier et mes bracelets mais la peur de lui déplaire et de rompre cet instant magique m’en dissuade. 
Pourtant, mon visage a du me trahir car elle désigne mes bracelets en me disant : « Allons Sandrine, ne sois pas timide, tu peux en profiter pour quitter tous tes bijoux. Considérons que c’est la récréation. Et cesse de baisser les yeux. Je suis sûre que tu sauras très bien reprendre ta place le moment venu. » Dit-elle avec un sourire espiègle qui me fait fondre. 
Lee éclate de rire. « Je peux profiter de la récréation moi aussi ? »
Visiblement habituée aux excentricités de son amie, Madame ne prend même pas la peine de lui répondre. « Une dernière chose, ma chérie. Ne mouille pas tes cheveux ce soir. »
« Bien Madame. »
Je me débarrasse prestement de mes entraves et les abandonne au bord du bassin. 
« Qui m’aime me suive ! » Déclare la doctoresse en effectuant un plongeon parfait. 
Timidement, je m’approche du bord. Le bassin est gigantesque. Il me rappelle la piscine municipale de mon enfance dans laquelle je me rendais régulièrement.
La température de l’eau est idéale. Timidement, je descends l’échelle, m’immergeant avec délices sous le regard implacable de Madame. Telle une naïade, Lee vient nager autour de moi. Abandonnant un peu de ma retenue, je l’accompagne au milieu de la piscine. Après avoir batifolé près de moi pendant quelques minutes, elle m’entraîne vers l’extrémité du bassin la moins profonde. A peine y avons nous pris pied, qu’elle m’enlace et m’embrasse à pleine bouche. 
« Si tu savais depuis quand j’attends ce moment. » Son souffle chatouille le creux de mon oreille. Elle y insère le bout de sa langue, me faisant frissonner de la tête aux pieds. « Détends-toi. Si Irène n’était pas d’accord, jamais elle ne t’aurait autorisée à te baigner. » Son corps se love autour du mien comme une anguille. 
« Lee, n’en profite pas trop. » Lance Madame, sur un ton de reproche, en avançant vers nous. « Je veux bien te la prêter un peu mais n’en abuse pas »
Son rire chaleureux me décrispe un peu. 
« Ne t’inquiètes pas ma chérie, je ne vais pas la manger » Répond l’asiatique, du tac au tac, en laissant échapper un rire cristallin qui exhibe ses dents impeccablement blanches. « Et pourquoi ne viendrais-tu pas te joindre à nous ? » Elle s’est glissée derrière moi et appuie son ventre nu contre mon dos. Ses mains explorent mon corps sans aucune retenue ; de la gauche elle manipule mes seins tandis que la droite s’affaire entre mes cuisses. 
« Une autre fois, espèce de vampire. Christelle m’a semblée bien énervée tout à l’heure ; il faut croire que l’arrivée de notre jeune amie ne laisse aucune d’entre nous indifférente. »
« Ce n’est pas moi qui vais dire le contraire. » Les deux mains de la jolie brune se sont rejointes entre mes cuisses dans une exhibition obscène qui semble être adressée directement à Madame. 
« J’hésite à la laisser seule trop longtemps avec cette petite gourde d’Isabelle. »
« Tu as raison, je n’ai pas voulu te le dire devant elle mais j’ai eu l’impression qu’elle voulait régler un compte avec Sandrine. Je n’aimerais pas être à la place d’Isabelle en ce moment. »
Une fois, elle m’a torturée avec un briquet… 
« Cette petite sotte mérite une bonne correction mais je tiens à la lui administrer moi même.» Rajoute Madame qui s’est assise au bord de la piscine et nous regarde avec gourmandise. 
« Tu n’auras qu’à me l’envoyer quand tu n’auras plus besoin d’elle, je connais des tas de moyens de la détendre. » Répond L’asiatique en me chatouillant perversement l’anus, comme pour illustrer ses propos. « Mais, en attendant, j’aimerais bien profiter encore un peu de ce petit joyau… Si tu n’y vois pas d’inconvénient bien sûr. » Je ne peux réprimer un cri de surprise lorsque, d’un coup, son doigt force l’entrée de mon sphincter. 
Elle est la seule à tutoyer Madame et à l’appeler par son prénom. Apparemment ces deux là sont des amies de longue date. Ses dents mordillent le lobe de mon oreille. Malgré le regard inquisiteur de Madame, je m’abandonne. 
« D’ailleurs, j’ai la même requête pour Sandrine. Je me ferai un plaisir de l’accueillir dans mon lit quand tu te seras lassée d’elle. » Et elle éclate d’un rire joyeux et communicatif. Le doberman est venu rejoindre sa Maîtresse et la regarde rire aux éclats d’un air dubitatif. C’est une bête énorme qui doit peser dans les cinquante kilos. Il m’impressionne et me terrorise tout autant, je n’ose imaginer ce qui se passerait si il me prenait en grippe. 
« Quelle obsédée tu fais. D’accord pour la première requête, mais pas pour la seconde. Son rire me réchauffe le cœur. Dès que possible, je t’envoie Christelle pour qu’elle rentre Blackie et sorte les autres chiens. Vous accompagnerez Sandrine jusqu’à mes appartements et ensuite vous pourrez vous livrer à toutes les turpitudes qui germeront dans ta jolie petite tête de dépravée. Ca te va ? »
« Parfait ma chérie, tu es un ange. »
« Et toi, un vampire de la pire espèce. Amuse-toi bien. » Dit Madame en se redressant avec un petit sourire entendu. « Blackie ! pas bouger. » 
Dès que Madame a tourné le dos, Lee m’attrape par la main et m’entraîne hors de la piscine. « Viens, nous serons mieux au sec. Tu mouilles tellement que la piscine risque de déborder ». Riant à gorge déployée, elle a attrapé une grande serviette et la déplie autour de son dos. 
« Viens vite dans mes bras. » Dit-elle en prenant place.  A peine ai-je le temps de m’asseoir qu’elle m’attire contre elle et entoure nos deux corps à l’aide de la serviette. « Alors ! Comment va notre petite pucelle ? » Je la regarde l’air ahuri. « Tu croyais que je ne m’en étais pas rendu compte ? N’oublie pas que je suis médecin. C’est une de tes principales qualités aux yeux d’Irène. Probablement pas la plus importante mais disons que c’est la cerise sur le gâteau. »
Je dois avoir l’air d’un chien battu car me caresse la joue en souriant tendrement.
« La principale, c’est ta beauté ma chérie. Tu es à croquer. »
Les yeux pétillant de malice, elle approche ses lèvres de ma joue et y dépose tendrement un baiser. 
« Je rêve d’être à sa place ce soir, je n’ose imaginer toutes les saletés que nous pourrions faire, toutes les deux. Je peux t’assurer qu’elle adore la façon dont tu subis toutes ces épreuves. Il n’y a pas besoin d’être psychologue pour remarquer le plaisir que tu prends à tout ça. Fais lui confiance et profite de ton plaisir comme il vient, c’est le meilleur conseil que je puisse te donner. »
« Je m’inquiète aussi pour ma famille. »
Son bras se fait plus pressant autour de mon cou. Avec un petit soupir de résignation, j’abandonne ma tête contre son épaule. 
« Tu as tort, Ghislaine et Sylvie ont prévenu tes parents que tu passais le Week-end chez elles, il n’y a vraiment pas de quoi t’inquiéter. 
« Mais que viennent-elles faire dans tout ça ? »
« C’est une longue histoire, ma chérie, et je n’aurais probablement pas le temps de te la raconter ce soir. » Dit-elle en caressant mes cheveux avec beaucoup de douceur. « Tout a commencé il y a deux mois environ. Tes copines voulaient constituer un "book". Elles ont pris rendez-vous pour un entretien. C’est Irène qui les a reçues dans son agence des Champs-Élysées. 
Sa main, d’abord posée sur mon ventre, a remonté jusqu’à mon sein gauche et le caresse distraitement, faisant naître de petites ondes de volupté dans ma poitrine. 
« Comme elles n’avaient aucune expérience sérieuse en la matière, elle leur a proposé de faire un essai dans sa propriété. Elles ont accepté avec empressement. Cela favorise beaucoup de choses d’être la directrice générale d’un groupe aussi prestigieux qu’ANGELS. Tu dois savoir que de grands noms tels que Inès de la Freshange et, plus récemment, Claudia Shiver ou Naomie Camber pour ne citer qu’elles ont été découvertes par ta Maîtresse.  »
« Vous la connaissez depuis longtemps ? »
« Ma foi… oui. Il y a une dizaine d’années que j’ai fait sa connaissance. J’étais un peu désœuvrée à la suite d’une déception amoureuse et… ça a été le coup de foudre. »
Soudain une idée lumineuse s’impose à mon esprit. Une pensée enfouie depuis toujours qui remonte à la surface et y éclate comme une bulle de savon au soleil. 
« Le crédit Parisien ! C’est une filiale du groupe Angels non ? »
« Exact. Mais revenons-en à tes copines. Pour un mois d’avril, il a fait particulièrement chaud ce week-end. Elles sont restées toute l’après midi avec Christelle et Irène, au bord de la piscine, à discuter de vêtements, de poses, de leur disponibilités et de leurs attentes. » 
Mon cerveau file à la vitesse de la lumière. Mes parents travaillent tous les deux au Crédit de la mode. Ma mère y est secrétaire de direction et mon père chargé de clientèle. Ainsi, tous deux travaillent pour Madame de Villemonble. Je ne saurais dire pourquoi mais cette idée me réconforte. Le chien a posé sa tête contre les pieds de Lee et semble dormir. Finalement, sa présence est rassurante. Le silence de la nuit nous enveloppe, tel un écran invisible qui préserverait notre intimité et je me sens parfaitement détendue. Il me semble que toute la tension accumulée jusqu’à présent est en train de s’évacuer. Ses ongles agacent délicieusement mon mamelon, le frôlant dans un ballet aérien qui m’affole quelque peu et m’empêche de me concentrer comme je le voudrais sur son récit. 
« Finalement, rendez-vous fût pris pour le jour suivant. Irène leur avait expliqué qu’étant débutantes, le dimanche complet ne serait pas de trop. Personnellement, je suis convaincue qu’elle aurait pu leur demander la lune si elle l’avait voulu. Donc, à neuf heures précises, le lendemain matin, Christelle est allé les chercher avec la Rolls-Royce. » 
Poussée par une pulsion de tendresse, je pose mes lèvres sur son cou et dépose un long baiser sur sa peau encore humide. Elle frissonne et ses doigts se crispent sur mon téton. Un soubresaut de plaisir contracte mon ventre. 
« Lorsqu’elles sont arrivées au manoir, tout était prêt. La fonction première du bureau de Christelle n’est pas d’être un studio proprement dit mais elle y dispose de tout le matériel nécessaire pour que ça le devienne. Elle a passé toute la matinée, enfermée avec elles à les filmer et les photographier sous toutes les coutures. A midi, Isabelle nous a servi le repas ici. Elles étaient assises à la place que nous occupons en ce moment. Nous avons déjeuné pendant que Christelle finalisait la séance : "Je dois encore transférer les données et les optimiser" avait-elle dit dans ce jargon que je déteste. A cette période de l’année, la piscine est chauffée, si bien qu’après le repas, tes deux copines ont insisté pour en profiter. Elles ont fait preuve d’un tel enthousiasme qu’on aurait dit deux gamines. »
Elle sourit et fait redescendre sa main sur mon ventre, me taquinant plus qu’autre chose. Ses ongles acérés tournent autour de mon nombril, l’effleurent, descendent sur mon pubis, l’agacent un moment avant de l’abandonner aussitôt, pour remonter sur mon ventre. Incapable de résister à la tentation, j’écarte légèrement mes cuisses. Elle reçoit le message et ses ongles redescendent en virevoltant comme une nuée d’insectes, pour se focaliser entre mes cuisses, s’aventurant par petites touches sur mon sexe avant de remonter sur mon pubis et l’agacer de plus belle. J’ouvre encore plus mes cuisses, désirant de tout mon corps qu’elle redevienne aussi entreprenante que tout à l’heure, qu’elle m’embrasse, glisse ses doigts en moi, se serve de sa main libre pour caresser mes seins. 
A ma grande frustration, elle n’en fait rien. 
« Christelle et Sylvie se baignaient et chahutaient comme des fillettes quand Christelle est revenue, son appareil en bandoulière. Elles n’ont pas été longues à convaincre que des photos de nus dans la piscine pouvaient être très sexy et seraient idéales pour leur "book". Et, de fil en aiguille, nos relations ce sont… comment dire… sont devenues plus intimes avec le temps… »
Le retour de Christelle l’interrompit. Elle déposa un baiser sur mon front avant de me dire avec une pointe de regret dans la voix : « Trêve de discussion, le temps passe et ta Maîtresse t’attend. »
Quelle déception. La rousse me fixe avec la même expression de sévérité qu’auparavant. Cette femme est un vrai glaçon. 
« Blackie ! Au pied. »
L’ordre fuse dans le silence. Bien dressé, le chien vient immédiatement s’asseoir à ses pieds. Elle se saisit de sa laisse et place ses mains sur ses hanches dans une position de défi. Tête haute, jambes écartées, la laisse dans la main gauche et son incontournable cravache dans l’autre, elle me fait penser à une valkyrie. Je réprime un frisson que la fraîcheur de la nuit ne demande qu’à diffuser le long de mon corps.  
Seule, la présence de Lee tempère le caractère dramatique de la scène. Je me précipite vers mes entraves que j’ai abandonnées au bord de la piscine. 
« Tu n’en a pas besoin pour l’instant. » Me lance Christelle, d’un ton si dur que je me sens rabaissée au rang d’un animal. « Contente-toi d’enfiler tes escarpins. »
J’obéis sans états d’âme et lorsque je me retourne, comme si il lui avait suffi d’un coup de baguette magique, Lee est déjà rhabillée. Prenant Christelle par le bras, elle dépose un long baiser au creux de son oreille. Sachant de quelles prouesses elle est capable j’imagine, envieuse, le ballet de sa langue caressant délicieusement le pavillon de la rousse. Puis, la faisant pivoter vers la maison, elle l’entraîne par le bras, ne cessant de lui murmurer je ne sais quelles perversions en marchant. Je dois presque courir pour les suivre. La frustration que m’a causé l’arrivée de la rousse fait place à une excitation mêlée de curiosité malsaine : Qu’ont elles fait subir à la pauvre Isabelle ? Que va-t-il m’arriver ? Et par dessus tout : Pourquoi suis-je subitement devenue aussi impatiente de rejoindre Madame ?
****
L’atmosphère qui règne dans les appartements de Madame lorsqu’on en franchit la porte pour la première fois laisse un souvenir indescriptible, une sensation proche de l’oppression. 
Ce soir, son "univers", et je ne pense pas que le mot soit trop fort, débute derrière une double porte située en bout de couloir à l’opposé de la cuisine. Après avoir traversé la pièce dans laquelle se trouvent le canapé rouge et le portrait de Madame, mes deux cicérones ont bifurqué à gauche. Elles se sont immobilisées sur le pas de la grande porte et, dans un silence cérémonieux, Christelle a actionné une sonnette. Après quelques secondes d’attente, troublées seulement par des vibrations se répercutant dans le sol qui me font penser à celles que l’on ressent à l’extérieur d’une boite de nuit, la porte s’est ouverte automatiquement, probablement commandée électriquement. Aussitôt, nous avons été submergées par la musique qui en émanait. Toutes les deux ce sont effacées pour me laisser le passage, et Lee m’a poussée en avant, non sans m’avoir au passage, octroyé une dernière caresse sur les fesses. 
L’inconnu me fait prendre conscience de ma nudité. La musique tonitruante de "O fortuna, le premier acte du "Carmina Burana" confère aux lieux une atmosphère troublante. Je me retrouve seule dans une pièce qui est certainement la plus grande de toutes celles que j’ai visitées jusqu’à présent, mais aussi la plus sombre. Sur ma gauche, la baie vitrée qui donne sur la piscine est entièrement obstruée par de lourdes teintures de soie grenat qui courent sur toute la longueur du mur en face duquel je me trouve, ne s’interrompant que pour révéler les quelques pans de mur sur lesquels sont exposés des tableaux magnifiques. C’est une pièce immense, toute en longueur dont le sol est entièrement recouvert d’une courte moquette noire qui étouffe les pas. Un éclairage tamisé, diffusé par des appliques disposées au dessus de chaque tableau, baigne les lieux d’une teinte rouge sang. 
Incapable d’avancer, je frissonne longuement avant de remarquer que le pas de la porte, plutôt rêche, sur lequel je suis immobilisée fait office de paillasson. Le luxe qui m’entoure est tellement impressionnant que la première idée qui me vient à l’esprit est que je risque de salir le sol. C’est donc consciencieusement que je m’essuie les pieds. La musique semble venir de partout à la fois. J’ai beau regarder autour de moi, je ne parviens pas à distinguer les hauts parleurs dont les basses palpitent dans tout mon corps. 
Ne sachant que faire d’autre, j’attends ce qui me semble une éternité sans oser bouger. Les notes de musique s’égrènent interminablement et je redoute tout en l’espérant de tout mon cœur l’apparition de Madame. 
Ce n’est qu’après que la dernière note ait retenti qu’une voix éloignée, venant des profondeurs de la pièce, m’interpelle. 
« Approche Sandrine. »
Je m’avance sur la moquette. Il fait tellement sombre que je distingue plus que je la vois la richesse de la décoration : Vases précieux, statues de toutes tailles, chevaliers en armures, tableaux datant du XVème siècle ne représentant que des femmes, dont certaines ne me sont pas inconnues. Un style indéniablement moyenâgeux qui se marie étonnement bien avec le mobilier moderne…
Un nouveau morceau, diffusé à la même puissance, vient de débuter. "Baby did a bad bad thing de Chris Isaac". Le refrain, si lourd de sous-entendus, m’hypnotise. Au fond de la pièce, un escalier de marbre en colimaçon qu’on s’attendrait plutôt à trouver dans un château, envahit mon champ-visuel, majestueux. Une luminosité puissante provient du haut des marches, comme pour m’inviter à les gravir. 
Intimidée, je me mets à les escalader lentement, me demandant quelles autres surprises me réserve cette surprenante demeure. Au même moment, un frisson me parcourt l’échine. 
Parvenue en haut, mes yeux mettent quelques instants à s’accoutumer à l’éclat de la lumière. La pièce me paraît être rigoureusement des mêmes dimensions que celle que je viens de quitter, mais la décoration est toute autre.

Mon sang se glace dans mes veines. Les instruments de torture qui ornent les murs semblent venir d’un autre âge. Les murs et le sol sont en pierre, recouverts de peaux de bêtes. Je viens de pénétrer dans une salle de torture digne de l’inquisition. Rien ne manque : Chevalets, croix en bois de toutes formes, fauteuils et tables équipés de courroies pour immobiliser les victimes, potence, tisonnier…
Vêtue d’un déshabillé transparent de voile noir, Madame m’attend les bras croisés, seins bien dressés et sexe épilé qui laisse voir un mont de venus et le capuchon saillant du clitoris.
« Impressionnant n’est ce pas ? »
Le souffle coupé, j’acquiesce de la tête, ne sachant trop si je suis plus impressionnée par ce que je viens de voir ou par elle.

Pour tout sous-vêtement, elle porte un porte-jarretelles noir sur lequel est fixée une paire de bas de la même couleur qui mettent en évidence son corps splendide. Des escarpins vernis à talons hauts, noirs eux aussi, complètent la mise. 
« C’est une de mes grandes fiertés. Toutes les pièces sont d’époque. Il m’a fallu déployer des trésors d’ingéniosité, et aussi beaucoup de temps et d’argent, pour me les procurer. Christelle y fait des séances photos et vidéos qui t’intéresseront sûrement…»
Anneaux, chaînes, bracelets en fer et menottes pendent au plafond et sur les murs. Abasourdie, je ne sais où donner de la tête. Toute la panoplie du parfait inquisiteur est exposée devant mes yeux incrédules. Fers qui ne demandent qu’à rougir, fouets, cravaches, poires d’angoisse, pinces et tenailles. Chacun de ces instruments semble prêt à être utilisé.  
« Je te ferai visiter demain et même essayé. » Me dit-elle avec un sourire malicieux qui me fait frissonner des pieds à la tête. « Mais pour l’instant, nous avons d’autres préoccupations. Par ici. »
Hypnotisée par le ton de sa voix, je m’empresse de la suivre. Nous cheminons entre divers instruments de torture et arrivons devant une nouvelle pièce  dont l’entrée, composée d’une double porte grande ouverte m’attire irrésistiblement. La musique, bien que beaucoup moins forte, ne cesse de résonner dans mes oreilles.
“Baby did a bad bad thing, baby did a bad bad thing
Baby did a bad bad thing, baby did a bad bad thing…”*
Si bien mis en valeur par Stanley Kubrick dans son dernier film: "Eyes wide shut", elle retentit dans les baffles invisibles qui doivent tapisser l’intégralité de l’endroit. 
Au fond, un corps écartelé nous tourne le dos. Je n’ai aucune peine à reconnaître Isabelle. Ses membres sont étirés en croix et fixés sur une tubulure circulaire verticale d’environ deux mètres de diamètre. Deux montants en croix forment un X dans son dos et semblent participer à la rigidité du dispositif. L’ensemble, entièrement chromé réfléchit les faisceaux de lumière diffusés par les spots disséminés dans toute la pièce. Ses mains et ses chevilles sont fixées par des courroies qui la maintiennent verticalement, suspendue dans le vide à une vingtaine de centimètres au dessus du sol en marbre. 
Sous ses pieds, un petit podium circulaire, assorti au reste du revêtement de sol, d’environ un mètre cinquante de diamètre sur une hauteur de trente centimètres fait office de piédestal. Face à elle, un lit à baldaquins gigantesque semble destiné à une reine. Je n’en ai jamais vu de pareil, on pourrait y dormir à quatre sans être à l’étroit. 

Isabelle est entièrement nue, de dos, et sa tête, inclinée sur son torse, laisse à penser qu’elle est endormie… ou inanimée après ses supplices, qui pourrait dormir dans une position aussi inconfortable ?
Placé contre le mur du fond, le lit est posé sur une estrade ornée d’une moquette épaisse, rouge foncé et domine l’ensemble de la pièce. Un curieux rail en acier chromé, encastré dans le sol en marbre et à peine plus petit que celui d’une voix ferrée, court sous le podium et traverse la pièce en reliant le lit et le "coin canapé" (vu sa dimension, on pourrait plutôt parler d’espace), à côté duquel je me suis immobilisée. Le luxe de la décoration, les dimensions majestueuses de la pièce ne me laissent aucun doute sur le fait qu’il s’agit de la chambre de Madame. Plusieurs écrans plats ornent les murs de la pièce, quand ils ne sont pas suspendus au plafond. 
Le corps de la pauvre Isabelle est luisant de transpiration. Des gouttes ont formé de petites flaques brillantes sur la plaque de marbre gris sombre, veiné de rouge fuchsia et d’orange qui recouvre le socle de l’instrument de contention. 
La chambre fait approximativement le triple ou le quadruple de la pièce au canapé rouge. Décidément, tout semble démesuré dans cette maison incroyable.
Madame a pris place sur le canapé d’angle. 
« Viens ici» Dit-elle en tapotant le cuir à côté d’elle.
Sa voix douce contraste avec la dureté de son regard.
Baissant les yeux, je m’assois contre elle. Face à nous, le corps envoûtant de la suppliciée attire mon regard. Une bonne quinzaine de mètres la sépare de nous et pourtant elle me paraît si proche. Sur la table basse, une carafe est remplie d’un liquide enseveli sous un monceau de glaçons. Vraisemblablement la même boisson que celle que j’ingurgite depuis que j’ai rejoint Madame. Elle en remplit deux verres et m’en propose un.
« Tu dois avoir soif ma chérie ! »
Jamais je n’aurais imaginé, après les circonstances dramatiques dans lesquelles je l’ai rencontrée, qu’elle puisse être aussi prévenante envers moi. 
Au son de la voix de sa tortionnaire, Isabelle a redressé la tête et essaie de se retourner. La douleur de ses membres étirés par le poids de son corps doit être insupportable. Curieusement, elle n’émet aucune plainte ou gémissement. Ses fesses légèrement écartées révèlent  ses parties intimes, provoquant une onde de désir sauvage dans mon bas-ventre. Une excitation sourde s’empare de moi. Il me semble que la température vient brutalement d’augmenter de quelques degrés. Une nouvelle chanson vient de débuter. Les paroles sulfureuses d’Eminem me parviennent comme à travers un brouillard.
"You want me to do what ? What are those ?
You want me to stick those in your what ?” 
**
J’observe Madame. Jambes croisées, elle se désaltère à petites gorgées en se relaxant contre le dossier moelleux du sofa et fixe un boîtier rectangulaire, de bonnes dimensions, encastré dans la table. Je l’imite en me demandant à quoi ce curieux coffret peut servir. Il mesure une cinquantaine de centimètres de long sur une trentaine de large et de nombreux boutons, curseurs et cadrans sont disposés sur sa partie supérieure. Elle tient un petit boîtier de télécommande dans la main. 
Nos regards se croisent un instant. « Petite curieuse ! Tu te demandes à quoi ça peut bien servir. N’est ce pas ? »
J'approuve de la tête en rougissant.
« Ce que tu peux être timide. Mais tu me plais comme ça, alors ne change rien. »
Elle s’est penchée en avant et repose le petit appareil dans un logement prévu à son effet, avant de se renfoncer dans le canapé. 
« Viens plus près de moi. »
Isabelle dodeline de la tête. Par moment, ses jambes sont agitées de tremblements qui en disent long sur les tourments qu’elle endure. Je me colle contre Madame. Affectueusement, elle passe son bras autour de mon cou et attire ma tête contre son épaule. Les sensations que j’éprouve sont confuses. D’un côté, je me sens prodigieusement bien, mais d’un autre, une partie de moi même reste en alerte, inquiète de la suite des événements. 
« J’ai besoin de mieux te connaître ma chérie. »
Sa question détourne un peu mon attention de la suppliciée. 
« Quelle est ta date de naissance ? »
« Le quinze avril 1990, Madame. »
« Bien, combien êtes-vous dans ta famille ? »
« Quatre : Papa, Maman et j’ai une petite sœur. »
« Quel âge ? »
« Douze ans, Madame. »
Son regard s’illumine un instant. 
« En quelle classe ? »
« Sixième, elle va passer en cinquième à la rentrée.  »
« Intéressant… » Elle fait une pose. 
« Quels métiers font tes parents ? »
« Ils travaillent dans une banque. Ma mère est secrétaire de direction et mon père chargé de clientèle. »
« Quelle banque ? »
« Le crédit de la mode. »
« Depuis longtemps ? »
« Oui, j’ai l’impression qu’ils y ont toujours travaillé. »
« Bien revenons en à toi ; as tu déjà eu un petit copain ? »
« Non Madame. »
« Pourquoi ? Tu ne plais pas aux garçons ? »
« Oh si, mais ce sont plutôt eux qui ne me plaisent pas. »
« Tu n’aimes pas les garçons ? »
« Non, je les trouve grossiers et immatures. »
« C’est tout ? » Dit-elle en me fixant d’un regard pénétrant. « Tu ne vas pas me faire croire que tu ne t’intéresse pas aux garçons uniquement parce que tu les trouve immatures et grossiers ! » Ses yeux perçants sont plantés dans les miens comme s’ils pouvaient lire mes pensées. Je rougis. 
« Ou… oui Madame. »
« Es tu sure que tu ne me cache rien ? Qu’il ne c’est rien passé dans ton enfance par exemple ? Quelque chose dont tu n’as jamais parlé à personne ? »
Je baisse la tête en rougissant de plus belle. Ses allusions me mettent tellement mal à l’aise que je sens la transpiration ruisseler sur mon front. Comment est-il possible qu’elle soit si sûre d’elle. C’est un secret qui remonte à ma plus tendre enfance et que j’ai enfoui au plus profond de mon subconscient depuis des années. Je n’en ai jamais parlé à qui que ce soit auparavant ; pas même à ma mère de mon gout pour le masochisme.  
« J’ai besoin de tout connaître sur toi ma chérie. Comment veux tu que notre petit accord puisse durer s’il ne repose pas sur des bases saines ? »
L’émotion est trop forte. Je sens les larmes me brouiller la vue. Je l’ai déçue, c’est sûr. Je m’imagine, mise à la porte avec pertes et fracas. Tu n’es pas honnête avec moi ma fille. Je ne tolèrerai pas ça une minute de plus… 
« Bien, nous y reviendrons dès que tu seras prête ma chérie. »
Toute la tension accumulée dans mes nerfs chute d’un seul coup. D’un geste appuyé, elle m’attire vers elle et me fait étendre sur le canapé, la tête sur ses cuisses. Ses doigts se mélangent avec mes cheveux. 
« S… si vous permettez, j… je ne me sens p… pas prête à en parler main… maintenant. » Dis-je, au bord des sanglots. 
Armée d’un mouchoir en papier, elle sèche mes yeux. 
« Allons, allons il ne faut pas te mettre dans cet état pour si peu. » Ses doigts démêlent mes cheveux avec douceur. « Et les filles ? As-tu déjà eu une expérience avec une fille ? »
« Non, mais j’aime bien être avec vous. »
Elle s’empare de mes seins, réveillant cette envie sourde qui ne faisait que sommeiller au fond de moi. 
« Ca je m’en étais rendu compte ma jolie. Mais avant de me connaître ? »
L’image de Sylvie se forme dans mon esprit. L’attirance que j’avais ressentie dans les douches de la piscine me semble bien désuète en comparaison du désir que m’inspire Madame. Des deux mains, elle malaxe délicatement mes seins rendus humides par ma transpiration. 
Je pousse un soupir. « J’ai ressenti une attirance physique envers une copine : Sylvie. » La honte que j’aurais dû ressentir en évoquant cet aspect de ma sexualité s’est envolée. Je lui raconte l’épisode de la piscine et ce qui en a résulté une fois seule dans mon lit. Ses mains jouent avec mon corps comme un artiste avec son instrument. 
« Est-ce que je peux vous demander une faveur, Madame ? »
« Demande toujours, ma chérie. Disons que ta récréation est prolongée jusqu’à demain. »
« Christelle me fait peur, ne me livrez pas à elle s’il vous plaît »
Elle ne répond pas. Se contentant d’épouser la forme de mon ventre en faisant glisser le plat de sa main jusqu’à mon pubis. J’écarte les cuisses. Elle se faufile entre mes jambes et débusque mon clitoris. Autant de décharges électriques en partent et cheminent dans mes zones érogènes. Telle une magicienne, ou devrais-je plutôt dire une sorcière, elle me titille admirablement et me mène plusieurs fois au bord de l’orgasme, s’interrompant chaque fois qu’elle me sent sur le point d’exploser avant de recommencer à se jouer de mes nerfs à vif. Mes soupirs se transforment en gémissements. Le plaisir gonfle et reflue dans mes veines, n’ayant de cesse avant d’abattre mes derniers remparts. Je me mets à gémir comme un petit chiot. Progressivement, un orgasme fabuleux monte au cœur de mon corps mais au moment ou il va atteindre son point culminant et me dévaster, submergeant mes ultimes défenses, Madame se retire me précipitant au fond d’un abyme de frustration. Inconsciemment, je porte ma main à mon sexe, ce dont elle me dissuade d’une tape sèche sur le bras.   
« Le plaisir est un sentiment très complexe ma chérie. Dans certains cas, la douleur y contribue, voir le sublime. Je comprends la peur que t’inspire Christelle mais as encore beaucoup de choses à apprendre à ce sujet. Lisette va d’ailleurs t’en faire immédiatement une petite démonstration. »
Elle se penche vers la table et actionne un des boutons de la télécommande. Un bourdonnement sourd à peine audible se fait entendre à travers les paroles de D12
“I want to get freaky with you.” ***
Le mouvement qui vient de se produire au niveau d’Isabelle, me distrait de ma frustration. Intriguée, je me redresse. Le plateau et la structure tubulaire sur laquelle elle est enchainée viennent de se mettre en mouvement et glissent silencieusement vers nous, guidés par le rail. 
La pauvre ; toute à mon plaisir égoïste, je l’avais complètement oubliée. Au même moment, la structure pivote sur elle même, positionnant le corps écartelé d’Isabelle face à nous.

Ce mouvement circulaire me révèle une vision de cauchemar. Mon sang se glace dans mes veines. Elle est transsexuelle, a un sexe tout petit et ressemble à une pelote d’épingles. Un nombre incroyable d’aiguilles est enfoncé sur tout le devant de son corps : ses bras et ses jambes, son ventre, ses seins sont constellés de petites pointes de toutes les couleurs. Même son sexe n’est pas épargné. Certaines d’entre elles l’ont fait saigner et ce que j’ai pris pour de la transpiration tout à l’heure est en fait du sang qui commence à coaguler sous ses pieds. Je pousse un petit cri d’horreur tant cette torture me paraît barbare.  
« Ne te méprends pas ma chérie. Elle nage en plein bonheur. » Me dit Madame en m’attirant à nouveau contre elle. 
J’ai l’impression d’avoir reçu un coup de massue sur la tête. Je n’avais jamais imaginé Isabelle transsexuelle tellement elle est belle et féminine. Seuls, ses tétons semblent épargnés. De longues traînées rouges ont séché sur son ventre et le long de ses cuisses. Mais le plus surprenant est l’expression d’extase qui transparaît sur son visage. Ses yeux révulsés trahissent un plaisir indéniable. 
« Parfois la douleur peut mener au plaisir de façon extraordinaire. Tout est une question de dosage. Christelle s’est contentée de la mettre en condition avant mon arrivée. C’est moi qui l’ai garnie de la sorte. »
Elle à insisté sur le "moi", comme si elle était jalouse de la peur que Christelle m’inspire.
« J’ai enfoncé chaque aiguille très lentement, en prenant tout mon temps. J’ai choisi avec beaucoup de soin chacun des endroits que j’allai transpercer. En ce moment, la douleur sublime son plaisir et je peux t’assurer qu’elle en est au même point que toi au moment ou j’ai retiré ma main de ton sexe. En fait, elle est au bord de l’orgasme depuis que tu es arrivée. La seule différence est que, contrairement à toi, son plaisir ne diminue pas. »
Comme si elle voulait illustrer les propos de sa Maîtresse, Isabelle me fixe avec des yeux mouillés suppliants, j’ai même l’impression que son corps agité de tremblements se tend vers nous.
« Elle est sur le point de jouir avec une intensité qui n’a rien à envier aux morceaux de bravoure dont tu nous a gratifiées. » Dit Madame en pressant un nouveau bouton.  
Un nouveau bourdonnement et le podium se remet à coulisser sur le rail, se rapprochant lentement de nous. Totalement impuissante, Isabelle se déplace progressivement jusqu’à venir s’immobiliser devant nous. Dans les haut-parleurs, la voix douce et claire "d’Ayo" succède à celle de D12, apportant une petite touche d’apaisement à la cruauté surréaliste de la scène. 
“Down on my knees, I’m begging you…”****
Isabelle se trouve à quelques centimètres de Madame. Installée confortablement, celle-ci s’est emparée d’une cravache et s’en sert pour parcourir les pointes multicolores des aiguilles. Avec un plaisir évident, elle les tapote par endroits et les déplace en tous sens, faisant gémir la martyrisée de plus belle. 
« Tu es bien sale ma fille. »
D’un tiroir placé sous la table, elle extirpe une lingette en tissu et entreprend de nettoyer le plus gros des traces de sang qui ont ruisselé sur le corps luisant de transpiration. Rehaussé par le podium, l’entrejambe d’Isabelle avec son petit sexe  se trouve juste à notre hauteur. Les jambes croisées et le bras appuyé sur le dossier, Madame se contente de tendre nonchalamment la main. 
« Je vous en prie, Mad… »
« Silence ! » La coupe brusquement sa Maîtresse, sans cesser de frotter le corps martyrisé. « Plus un mot ou tu le regretteras ! »
Le corps d’Isabelle est tellement humide de transpiration que les traces sanglantes disparaissent rapidement pour finir dans un gros cendrier avec les lingettes souillées. Étrangement, elle n’a pas nettoyé son bas-ventre et son sexe et me tend la boite de lingettes.  
« Je t’ai dit qu’elle était au bord de la jouissance, constate-le par toi même. »
Elle s’est reculée au fond du canapé et tapote le cuir entre ses genoux. Pressée par la curiosité, je m’agenouille à la place indiquée. Ainsi, je me retrouve à quelques centimètres des parties génitales de la suppliciée. 
Au comble de l’horreur, je constate que ses parties génitales ne sont pas épargnées. Heureusement pour elle, les aiguilles qui transpercent ses chairs délicates sont moins nombreuses que celles qui torturent sa poitrine. 
Surmontant ma répugnance, je saisis délicatement son sexe. Trois aiguilles le traversent de part en part maintenant le prépuce bien retroussé et un petit filet de sang a souillé sa chair imberbe. Je la tamponne avec la lingette en prenant le plus de précautions possibles. Elle pousse un râle qui ressemble à s’y méprendre à un gémissement de plaisir et qui la cabre dans ses chaines. Le tissu se teinte rapidement de rose. Une épingle à nourrice a percé par deux fois la muqueuse de sa petite queue décalottée qui se redresse furieusement. Trois lingettes me sont nécessaires pour arriver au bout ma tâche. 
« Maintenant, prends un mouchoir, roule-le en boule et positionne-le à l’entrée de son cul. » Dit-elle en me tendant un paquet de mouchoirs en papiers.
Après un petit moment d’incertitude, je m’empresse de m’exécuter en comprenant aussitôt où elle veut en venir. 
« Bien ma chérie, tu vois, ça n’était pas si terrible que ça. » 
Isabelle gémit maintenant sans discontinuer.
Madame a glissé ses mains autour de mon buste est s’est emparé de mes seins. Sa caresse est devenue brutale. Elle m’attire contre elle, je lui tends mes lèvres, en quête d’un baiser qu’elle m’accorde aussitôt ; à pleine bouche. Mon désir remonte en flèche. En un instant, j’oublie l’infortune de la pauvre soubrette pour me donner entièrement à cette femme qui se joue de mes sentiments et me réduit à l’état de nymphomane en chaleur. 
Elle étire mes pointes de seins, les fait tourner entre ses doigts, me pince sans libérer mes lèvres. Elle me force de sa langue, la fait tournoyer dans ma bouche à une vitesse folle. Malgré les ondes de douleur incessantes qui rayonnent dans ma poitrine malmenée, je m’offre de plus belle à ses attouchements. 
« Mains dans le dos. » Déclare-t-elle dans un souffle. 
A peine ai-je le temps d’obéir qu’elle se faufile sans ménagements entre mes cuisses, malmenant les parois de mon sexe trempé. Elle s’empare de mes trésors intimes, leur faisant subir mille tourments. Un flot de lave en fusion coule dans mes veines et explose en une multitude de gerbes de plaisir qui irradient dans toutes mes terminaison nerveuses. Les vagues d’une jouissance démentielle dévastent mon organisme au rythme des battements de mon cœur. Un orgasme fabuleux me tétanise et arque corps, me jetant aux pieds d’Isabelle dans des convulsions de plaisir presque douloureuses. 
Un rire sarcastique me tire de ma léthargie. 
« Et bien, tu m’en diras tant… Je ne me lasserai jamais de ta capacité à jouir ma chérie. C’est proprement incroyable. Jamais de ma vie je n’ai vu quelque chose d’aussi bestial. »
Péniblement, je reprends place sur le canapé, en peinant à reprendre mon souffle. Mes muscles courbaturés me font souffrir. Dans un brouillard, je distingue le geste de ma Maîtresse qui se penche entre les cuisses d’Isabelle et saisit l’extrémité du mouchoir entre ses ongles acérés. Triomphalement, elle l’exhibe à quelques centimètres de mon visage. Entièrement imprégné par ses sécrétions intimes de sperme, il se balance entre son pouce et son index. 
« Le moins que l’on puisse dire, c’est que la première partie de la démonstration est tout à fait probante. » Dit-elle avec une moue dédaigneuse.
Elle présente le mouchoir souillé devant la bouche d’Isabelle, l’enfonce entre ses lèvres, n’en laissant rien dépasser et se penche vers elle pour lui murmurer dans le creux de l’oreille :
« Il est tant de passer à la deuxième partie du programme ma fille. »
Puis, s’adressant à moi.
« C’est la partie la plus délicate. »
Elle presse un bouton et sort d’un tiroir plusieurs coffrets en bois, de différentes tailles, recouverts de cuir et finement décorés. Au même moment, telle une roue de bicyclette, la structure métallique se met à pivoter sur elle même, faisant basculer Isabelle, tête en bas. 
« Nous y voilà, ma fille… Le moment tant attendu ! » Lui dit-elle en s’accroupissant à hauteur de son visage. 
Elle a attrapé les pointes de ses seins entre le pouce et l’index et les tire cruellement vers elle, faisant se cambrer le corps de sa victime telle la corde d’un arc prêt à libérer sa flèche. De fines gouttes de transpiration apparaissent sur le corps sans défense et se mettent à ruisseler le long de celui-ci.  
Du coin de l’œil Madame me jette un bref regard et me fait signe d’approcher. Elle ouvre la boite la plus grande, se saisit d’un instrument bizarre. Je n’ai jamais vu ce genre d’objet auparavant. Il est constitué d’un corps cylindrique en plastique transparent. A son extrémité, une poignée me fait penser aux pistolets qui équipent parfois les tuyaux d’arrosage pour en commander le débit.
« C’est une "pompe à vide". » M’explique-t-elle. 
La seconde boite contient une série de petits tubes en verre alignés comme des éprouvettes dans des alvéoles garnies de feutre. Leur partie supérieure est munie d’un étrange petit embout en caoutchouc. Elle saisit l’un d’entre eux et fixe la partie caoutchoutée sur l’extrémité du cylindre de la pompe. 
Le tube mesure environ un centimètre de diamètre sur une longueur de quatre à cinq centimètres. Ses bords inférieurs sont légèrement évasés et Madame les ajuste étroitement contre le sexe d’Isabelle.
Au rythme des pressions sur la poignée que ponctue un bruit de succion, le membre, déjà saillant, de la suppliciée et ses chairs environnantes sont rapidement aspirés dans l’éprouvette et viennent se plaquer contre les parois en verre. 
Lorsque Madame débranche le pistolet, l’espèce de tube à essai reste en place, maintenu hermétiquement par la dépression. Les chairs d’Isabelle, dont les gémissements, assourdis par la lingette imprégnée de sperme qui coule de la bouche déformée, nous parviennent difficilement, à travers la musique, sont étirées sur cinq bons centimètres à l’intérieur du cylindre entrainant une érection. 
« Vérifie si ça tient bien.  » 
Timidement, je tire sur le tube, la faisant gémir de plus belle. Il résiste fermement. Pendant ce temps, Madame procède à la même opération sur les tétons d’Isabelle.
La troisième boite, beaucoup plus petite, contient un jeu d’élastiques de toutes les couleurs. Leur diamètre est tellement étroit qu’elle doit s’escrimer un moment pour les enrouler autour du tube transparent. Elle m’en tend un jeu.
« Maintenant, fais rouler les élastiques, le long des éprouvettes, jusqu’à ce qu’ils enserrent ses tétons et son membre. »
Le diamètre des élastique est minuscule et l’opération n’est pas aisée. Malhabile, je dois m’escrimer un moment en luttant contre les tremblements qui agitent mes doigts avant d’arriver à mes fins. 
« Bien, maintenant nous pouvons ôter les tubes. »
Elle manipule la petite valve en caoutchouc et la pression s’échappe dans un petit chuintement qui libère les tubes. Isabelle râle maintenant sans discontinuer. Ses chairs boursouflées par l’action des élastiques sont devenues violettes. 
« Parfait ! Il est temps de conclure cette petite expérience. » Dit-elle en exhibant devant mes yeux ébahis, le contenu de la dernière boite. 
Il s’agit d’une multitude d’aiguilles dont les extrémités de toutes les couleurs me font penser aux petites perles avec lesquelles je jouais dans mon enfance. 
Sans un mot, Madame en saisit une entre le pouce et l’index et en présente la pointe devant le téton gauche d’Isabelle. La suppliciée a un petit tressaillement mais, curieusement, ne fait aucun mouvement pour se soustraire à la menace de l’aiguille.  
Elle s’amuse quelque peu à darder la chair sensible de quelques petits coups avant d’attraper le téton entre le pouce et l’index.
« Serre les dents ma chérie... ! Tu vas adorer ça… »

« Nonnnn Mad… » dit Isabelle

« Tu seras punie, salope cette nuit, tu le sais »

«  Oui, Madame »
Et, d’un geste précis, elle enfonce lentement l’épingle dans le côté du mamelon érigé. Comme dans un rêve, j’assiste impuissante à la progression de la pointe acérée qui perfore la chair délicate, la traverse de part en part, forme une petite excroissance de l’autre côté du téton avant de vaincre la résistance et ressortir à l’air libre. 
Le corps d’Isabelle s’est tétanisé. Ses yeux révulsés laissent voir le blanc de ses globes oculaires et une plainte sourde et puissante que la lingette n’arrive pas à contenir monte du fond de sa gorge. Ce râle guttural n’est pas causé par la souffrance, elle est en train de jouir dans la douleur. Des jets de sperme sortent de son membre gonflé tandis qu’elle se tord dans ses chaines. 
Une deuxième suit le même chemin puis une troisième aiguille très douloureuse enfoncée lentement verticalement au milieu du téton dans la glande mammaire. Isabelle gémit tellement que j’en arrive à me demander si elle va réussir à reprendre sa respiration. 
Aussi incroyable que cela puisse paraître, force m’est de reconnaître qu’elle éprouve un orgasme fabuleux qui semble ne jamais devoir s’arrêter. Madame lui a enfilé trois aiguilles dans chaque téton et à chaque fois elle s’est cambrée dans ses liens pour lui offrir sa poitrine. 
« Et maintenant ! Le bouquet final… » Dit Madame en s’emparant du membre d’Isabelle. Dont les geignements rauques se sont transformés en grondements sourds.
Elle a pincé le bout du gland décalotté érigé entre ses ongles et l’étire fermement, tandis que, de l’autre main, elle approche lentement la pointe de l’aiguille. Avec une précision diabolique, elle le pique plusieurs fois. A chaque piqûre, le corps d’Isabelle se cambre dans ses liens. Un râle profond et ininterrompu s’échappe de sa gorge. Le regard triomphant que me lance ma Maîtresse à ce moment me terrifie. A l’évidence elle prend un plaisir fou à tourmenter ainsi sa captive.

« nonnn maitresse pitié »

Soudain, d’un geste sec, l’aiguille transperce brusquement la chair du gland et la traverse de part en part.

« Maintenant il restera décalotté, hihihi ».Isabelle pousse un hurlement bestial et laisse échapper un long jet d’urine qui éclabousse avec force le socle entre ses pieds et s’écoule sur son corps supplicié pendu tête en bas.

« Une autre pour bien le maintenir décalotté ». Une autre aiguille est enfoncée par ma Maitresse aussitôt en croix dans la chair du gland.Le gland est maintenant décalotté au maximum et rendu hyper sensible aux attouchements.

Les hurlements deviennent horribles à de simples touchers du gland turgescent, le  bassin d’Isabelle s’agite convulsivement tandis que son orgasme atteint son point culminant avec de violents jets de sperme mêlé à l’urine.

Puis sa tête retombe, bouche ouverte, cuisses largement écartées, sans force pendue écartelée dans ses liens.

Au même moment, mes jambes se dérobent, m’obligeant à m’asseoir tandis qu’une bouffée de chaleur embrase mes joues…

« Redresse-la cette salope, elle s’est évanouie, avant de continuer à s’amuser avec son corps ».

Je tourne la roue avec effroi pour voir le corps martyrisé d’Isabelle se redresser mais inconsciente sa tête penche en avant comme une esclave toujours pendue écartelée dans ses liens.

« Laisse-la se réveiller, elle sera bien étirée et incapable de se débattre pour ses autres supplices sexuels. Tu peux l’aider en remuant les aiguilles dans ses seins ou son gland, c’est toujours efficace hi hi hi  ».

Je lui touche l’aiguille enfoncée verticalement dans son téton droit et la réaction est fulgurante. Isabelle se redresse dans un râle de souffrance. Je fais aller et venir l’aiguille provoquant un orgasme et elle s’affaisse dans ses liens, haletante, due à la douleur.

Je suis terrifiée.

Sa tête penchée en avant me cache son visage masqué par ses longs cheveux blonds. Elle relève sa tête  péniblement et d’un mouvement latéral dégage ses cheveux collés sur son visage par le sang et l’urine. Elle me supplie du regard d’arrêter en pleurant.

"Arrete de la torturer,elle/il a déja bien souffert pour aujourd'hui. On va la préparer pour la nuit dans son cachot".

Je commence par retirer les aiguilles des seins puis du sexe provoquant à nouveau des hurlements de douleur. Sans voix elle/il s'affaisse dans ses liens et pend sans force par ses bras enchainés écartés sur la roue.

Je commence par détacher les bracelets métalliques de chevilles. Dans un rale Isabelle se trouve pendue uniquement par les bras lui entrainant des douleurs qui la font se cabrer dans le vide sans appui puis retombe épuisée.

Pour les bras je la saisie par la taille et Maitresse lui détache les bracelets métalliques des poignets.Je recois son corps inerte pour le porter sur le rack d'élongation. Je la mets sur le dos nue et inconsciente.

Elle est trés jolie,fine et féminine.Ses seins sont superbes et son sexe bien gonflé des tourments. Des perles de sang apparaissent encore sur la peau lorsqu'on la bouge.

Maitresse la met sur le ventre pour la préparer. Elle lui raméne les bras dans le dos et prend des bracelets cuir rouge qu'elle ferme par vis au dessus des coudes et fixe un cadenas entre eux qui reserre les coudes l'un contre l'autre.Puis elle fait de même pour les poignets. Isabelle a les bras séverement ramenés dans le dos sans défence.

A demi consciente elle la retourne sur le dos. Les bras ont ainsi la particularité de faire saillir sa poitrine qui s'offre étalée à la vue . Je bande fort en la voyant ainsi abandonnée les cuisse légérement ouvertes.

Maitresse me dit que je peut la préparer à ma guise avant de lui donner à manger et de la conduire dans sa cellule. 

 

Par pamela - Publié dans : tortures
Ecrire un commentaire - Voir les 2 commentaires
Mardi 2 octobre 2018 2 02 /10 /Oct /2018 14:22

J'avais connu sur le net une jeune femme qui voulait connaitre le bondage .

Nous avions bien partagé et pris du plaisir chacun au bondage .Moi j'étais souvent en travesti trés sexy qu'elle adorait. Elle m'attachait souvent et elle était devenue experte sur mes conseils.Mais elle était devenue aussi sado machochiste en pratiquant et passait souvent des journées entravée ,portant des chaines comme une esclave, nue ou en sous vetements.

L'une des pratiques qu'elle adorait et la faisait jouir à l'extreme était simple mais trés efficace et peut se pratiquer partout à la maison pour peu que l'on posséde des poutres au plafond .

Notre maison ancienne disposait dans le salon d'une baie libre donnant sur la rue .

J'avais fixé sous la poutre une attache avec un anneau solidement vissé dans le bois. Une bonne chaine pendait jusqu'au sol et j'avais acheté des menottes métalliques pour les mains et les pieds et un large collier de cuir rouge.

Ce supplice de la présentation consiste à amener ma femme,nue ou en sous vetements,menotée dans le dos avec les chaines aux pieds et en hauts talons sous la poutre. Je lui mettais alors le collier de cuir au cou trés serré.

Déja là ma femme mouille abondamment à ce stade. Je lui fixe pour achever un baillon muni d'une petite protubérence en forme de sexe qui lui empli la bouche et la gorge..Je le fixe pour qu'elle ne puisse pas parler à part des grognements ou des cris étouffés.

Le sadisme est de lui retirer réguliérement  ses hauts talons malgré ses grognements et ses contorsions. Elle est alors obligée de se tenir sur la pointe des pieds pour ne pas s'étouffer. En sous vetements soutien gorge,string,porte jarretelle et bas, là,le spectacle est hallucinant.

 Ma femme les yeux exhobités me supplie dans des grognements inaudibles de lui redonner ses hauts talons. Son corps se tortille devant moi. Elle bave abondamment, ses mains menottées cherchant vainement en se contortionnant à attraper le collier devenu inaccessible et, sans espoir pour se dégager.

Pour la calmer souvent je la fouette sur les reins le dos et les fesses pour la faire se raidir. Ses souffrances sont accentués par le collier qui l'etrangle quand elle essaie de se recroqueviller sous les coups pour se protéger les fesses ou le sexe.

Je surveille ma femme car dans cette position elle peut se retrouver pendue. Elle arrive parfois aux convultions. Alors je lui remet ses hauts talons et j'attend suivant les cas 15 à 30 minutes pour recommencer.

Souvent ma femmes urine de peur car la position est stressante, elle ne peut pas se liberer, incapable de parler et dépendante de mon bon vouloirDSC 02550  dont elle ne connait pas mes intentions(durée du supplice et son intensité).

 

 

 

Par pamela - Publié dans : tortures
Ecrire un commentaire - Voir les 5 commentaires
Jeudi 2 juin 2016 4 02 /06 /Juin /2016 16:43

La crucifixion moderne de femmes

D'abord, il y a la flagellation.

 

        Le poteau de flagellation, haut de 160 cm, est au milieu de la salle . Des chaises sont en périhérie pour les spectateurs qui choisissaent la vue de la suppliciée. Des anneaux de fer,l'un placé à l'avant d'où pend une chaine avec un crochet anal terminé par une boule de 3 cm de diametre et l'autre à l'arriére d'où pend deux chaines terminées par destorturée pal 034 bracelets métalliques larges en inox sécurisés par des vis inviolables équipe ce poteau complété par une barre en inox de gros diamétre traversante à 0.80cm du sol. Des anneaux sont scellés au sol à l'avant écartés de 2.00m environ.

L'ensemble est engoissant à voir pour les suppliciées car elle pouvait s'imaginer  ainsi attachée sans défenses, présentée au fouet.

 

       Aujourd'hui le spectacle sera de choix dans la salle de torture du chateau car trois femmes sont livrées au bourreau par leurs maitres. Une mére et sa fille ainsi qu'une jeune étudiante.

         Le tribunal les a condamnées il y a 3 mois à la crucifiction lente pour la mére et sa fille, 2 superbes femmes, et à la crucifiction normale pour la jeune l'étudiante

            A la lecture des sanctions les 3 femmes ont hurlé de terreur en suppliant leurs maitres de les épargner.Mais en vain ,leurs maitres restérent inflexibles.Elles étaient sadomachosistes mais ne pensaient pas arriver à ce stade de cruauté sadique. Elles savaient qu'elles allaient mourir sans secours car personne ne connaissaient leur présence dans ce chateau maudit. 

          Dans l'attente de leurs supplices,à une date qu'elles ne connaissaient pas pour faire croitre leur angoisse, elles durent s'occuper pendant des mois des invités du chateau en tenue sexy ce qui avait l'avantage d'exciter encore plus aujourd'hui les hommes présents qui avaient eu pour amante ces femmes condamnées à mort.

Le soir elles étaient de nouveau solidement enchainées dans leurs cellules.Les gardes ne se sont pas privés de profiter de ces belles femmes auxquelles ils imposaient des tenues de l'érotique à la femme bcbg.

               Aujourd'hui était fixé le jour de leurs supplices.

Pour agrémenter le spectacle les femmes avaient été réveillées de bonne heure pour etre préparées pour une sortie présumée avec les invités..Bien coiffée et maquillée elles avaient mis robes moulantes courtes , mini jupes et hauts décolletés. L'ensemble était complété de bas, string, soutien gorges push up et escarpins hauts talons avec des porte jarretelles et un corset trés serré pour la mére qui lui mettait les forme en valeur.

Elles furent surprises ainsi habillées de voir qu'on leur mettait des chaines aux pieds et aux mains ramenées dans le dos. Elles comprirent que c'était le jour de leurs supplices.Les deux jeunes femmes s'effondrérent en larmes en hurlant de terreur ne voulant pas mourir.

Les gardes comprirent que le spectacle offert aux invités serait pour les prochains jours de qualité.

            Un collier fut fixé au cou de chaque femme , une chaine mise dans l'anneau et les gardes tirerent les femmes dans les couloirs et les escaliers qui menaient à la salle des supplices pour la flagellation .

Quant à la crucifiction elle était prévue en plein air dans la cour du chateau plus tard

Les gardes amenerent en trainant les 3 femmes vers leurs supplices et les pousserent dans la salle déja remplie de spectateurs. certains maitres avaient à leurs pieds des soumises entravées qui allaient assister au spectacle et peut etre un jour aussi etre suppliciée.

La jeune étudiante était dirigée vers le poteau pour etre flagellée.Elle se débattit vigoureusement mais la jupe et le teeshirt furent enlevés rapidement pour etre en lingerie. Courbée en avant on la força à passer ses bras au dessus de la barre horizontale d'un petit portique, les bras furent ramenés à la verticale vers le bas et les poignets pris dans les menottes.Cela a eu pour effet de courber le corps de la malheureuse et de présenter sa croupe .On lui laissa les hauts talons et ses bas et les jambes furent écartées et les chaines furent fixées aux chevilles et reliées à la base des poteux du portique. Déja la pauvre ne pouvait plus se défendre .Pour completer et éviter qu'elle baisse son bassin le crochet annal lui fut enfoncé dans l'anus.Elle cria au passage de la boule qui lui écarta violamment l'anus qui ensuite avala l'objet dans un bruit de succion. La chaine du crochet fut tendue et attahée à un crochet du plafond.Les femmes dans cette position ne pouvaient plus bouger et enduraient leur supplices à la limite de leurs forces.Certains maitres souhaitaient que leurs soumises meurent dans les souffrances horribles de la flagellation, le corps et le sexe déchiquetés. 

Le spectacle du supplice de la crucifiction était prévu les jours prochains.Chaque femme devait mourir avant que la suivante prenne sa place. Exceptionnellement la mére assistera à la crucifiction de sa fille en hogtied sur une table.

Pour la journée de préparation la mére et la fille dans l'attente de leur flagellation seront attachées pour etre violées.La mére aux seins lourds et laiteux est mise en lingerie adossée à guenoux à un petit portique en forme de U renversé fait en poutres solides.La tête est prise dans un large collier métallique et se trouve au niveau du sexe des hommes .Les mains sont écartées latéralement et prises dans des bracelets métalliques.L'ensemble est d'une grande rigidité.Pour garantir la soumission de la mére les chevilles sont écartées et fixées au sol.La pauvre offre son sexe ouvert et sa bouche aux hommes.

La fille a un supplice plus raffiné. Elle est pendue par les jambes écartées, les mains liées dans le dos et fixées à la taille.Elle ne porte plus son soutien gorge et son string . Elle est relevée dans cette position pour permettre aux hommes de sucer son sexe et elle de sucer les membres .La mére et la fille sont en vis à vis et se voit ainsi dégradée sexuellement.Elles gémissent toutes les deux de la position douloureuse de cette immobilisation mais qui n'est rien par rapport à ce qu'elles vont subir dans les heures et jours qui viennent. Beaucoup de femmes sur la fin demandent qu'on les achéve pour arreter les souffrances qui deviennent insupportable sur la croix.   

 

 

 

La femme tremblante se deshabillait en pleurs suppliant de l'épargner.Les vêtements de la femme étaient arrachés du corps de la prisonnière, afin que celle-ci soit nue. Les licteurs romains étaient des professionnels. Ils limitaient leur travail à une flagellation subtile et brutale et ils pouvaient battre leur victime jusqu'à ce qu'il ne lui restât qu'une petite étincelle de vie.

 

Les poignets étaient fortement ligotés à l'anneau de fer. Ensuite, la victime était mise dans une posture tendue, le visage dirigé vers le sol, les pieds écartés tirés loin du poteau et fixés à des anneaux au sol.

Le fouet romain était tristement célèbre. C'était un fouet court composé de plusieurs minces chaînes en fer ayant à leur bout des petits poids.

On appelait la flagellation la "petite mort". Elle précédait la "grande mort" : la crucifixion.

 

Même la tension pendant l'attente du premier coup était cruelle. Tout le corps était raide. Les muscles se contractaient dans des crampes pleines de tourments. La couleur disparaissait des joues. Les lèvres étaient étroitement serrées contre les dents.

 

Quand le fouet tombait, les chaînes se déployaient sur tout le long du dos, chaque partie de la chaîne déchirait la peau et pénétrait profondément dans la chair. Les poids s´enfonçaient avec une force fracassante entre les côtes et s´enroulaient autour des seins en causant une véritable torture.

Sous l´effet de la flagellation, la douleur était inexprimable. La sueur perlait des sourcils et piquait les yeux. A chaque coup de fouet, le corps de la femme se tordait. Le second coup de fouet balayait le dos et la moitié de la poitrine d´une marque en forme de "V" constituée de petites entailles dans la peau.

Chaque coup de fouet arrachait un morceau de vie. Il ne restait que la douleur brûlante et aveuglante, lorsque le fouet cruel sifflait dans l'air encore et encore, balayant le dos et les épaules. Le fouet romain pouvait écorcher vif une femme. Les hurlements étaient horribles

 

La loi des Hébreux limitait le nombre de coups de fouet à 39. Chez les Romains, cette limite n'existait pas. Pour le licteur qui fouettait la femme avant la crucifixion, il n´y avait qu´une seule règle : la femme ne devait pas mourir. Une étincelle de vie devait toujours être conservée pour l'agonie sur la croix.

Des femmes se sont coupées la langue en deux en se mordant sous de tels coups.

Seul l'évanouissement béni pouvait soulager.

 

Mais le bourreau savait doser les souffrances et pour les belles femmes la flagellation était moins sévère pour offrir un corps crucifié peu marqué par ce fouet impitoyable. En contrepartie la mort sur la croix était très longue, une  semaine d’agonie pour offrir au public le corps nu d'une femme se tordant sur la croix. 

 

Le corps sans force de la femme pendant par les poignets était détaché du poteau. Les blessures étaient lavées avec de l'eau salée mais évidemment pas médicalement soignées.Cela avait pour effet de réveiller la femme évanouie.

 

Ensuite aprés un certain temps c'était la procession vers le lieu d'exécution vêtue d’une robe courte légère qui se tachait du sang des blessures du fouet..

 

Les hommes politiques de Rome aimaient toujours que les condamnées servent d'exemple. Le long chemin, parcouru lentement dans les rues animées, devait constituer un avertissement pour les autres, puisque Rome agissait toujours vite et sans pitié.

Habituellement, un centurion servait d'exécuteur ou carnifex servorum.

 

La robe de la prisonnière était enlevée sur le lieu d'execution pour être à nouveau présentée nue au public. Souvent déjà épuisée par les tortures infligés par la flagellation les soldats la soutenaient debout en lui ramenant les bras dans le dos pour présenter son corps. Le bourreau savait épargner les belles femmes pour qu’elles montrent leurs seins fermes, leurs ventres plats et leurs sexes épilés. Le public allait avoir le loisir, pour certaines durant la semaine, de les voir se tordre dans de grandes souffrances.

Ensuite quatre soldats l’étendaient au sol sur la croix en bois. Ils tenaient la prisonnière par les mains et les pieds car la douleur donnait des forces importantes aux crucifiées qui refusaient leur supplice. Mais le bourreau mettait rapidement le clou en fer de 12 cm de long à pointe fine au milieu de chaque poignet. Un coup adroit et expérimenté le fixait au bois. Quatre ou cinq autres coups enfonçaient le clou profondément dans la poutre brute, et, d´un autre coup, le clou était cintré vers le haut afin que la main ne puisse pas être déchirée et le corps rester en place pendant toute l’agonie sur la poutre malgré la tension du poids de la crucifiée.

La femme poussait des hurlements atroces. Son corps se cabrait avec la douleur. Elle se débattait en regardant horrifiée son bourreau pendant que les derniers coups de marteau achevaient d’enfoncer les clous dans ses poignets et la fixaient de façon inexorable sur son instrument de supplice

Sous le bassin était fixé un petit rebord qui ressemblait à la corne d'un rhinocéros terminée en forme de gode, et qui était connu sous le nom de "sédile". Ce rebord devait soulager les mains du poids de la condamnée. Mais s’enfonçant dans son vagin il provoquait aussi des excitations sexuelles involontaires malgré les douleurs. Le bourreau savait bien l’ajuster pour que la condamnée aille et vienne sur ce gode infernal sans s’en échapper. Le public aimait entendre les bruits de succion dans les parties intimes de la femme provoqués par ses mouvements pour échapper aux douleurs dans ses membres. Régulièrement la prisonnière poussait les cris rauques d’un orgasme qu’elle ne maitrisait pas avant de s’affaisser haletante en convulsions, les yeux révulsés, la bouche grande ouverte empalée sur ce gode diabolique qui la maintenait en vie durant une semaine de façon atroce. Les femmes demandaient d’être achevées plutôt que de souffrir et d’offrir leur jouissance mais le public aimait cela. Le bourreau donnait à boire régulièrement aux belles femmes pour que le public assiste pendant la semaine aux convulsions de la condamnée qui offrait de façon impudique ses parties intimes et sa poitrine gonflée par la douleur .

Ensuite, un clou était enfoncé dans chaque pied pour achever la crucifixion. La femme hurlait déjà sur sa croix au sol mais ses souffrances ne faisaient que commencer pour devenir insupportables dans le temps sans espoir d’en échapper si ce n’est que dans une  mort rapide.

Un  moment très douloureux lorsque la croix était redressée avec la prisonnière et tombait sèchement dans le trou. En général les blessures aux mains envoyaient des douleurs comme du feu dans les bras lorsque le corps se reposait enfin entièrement sur les clous des poignets. Les femmes hurlaient cabrées de longues minutes lorsqu’elles se retrouvaient dans cette position, certaines surtout les jeunes filles n’y résistaient pas et perdaient déjà connaissance.

L'évanouissement apportait un soulagement temporaire aux femmes dans cette longue marche vers la mort.

L'obscurité alternait avec la douleur et la douleur avec l'obscurité.

La douleur au dos, dans les bras, les mains, les pieds et au bassin était sourde, lancinante, horrible et sans fin. La douleur augmentait, se multipliait et s'accumulait. Il n'y avait aucun moment de repos.

La croix était positionnée de façon à ce que le soleil brille en plein dans les yeux de la prisonnière et dévoile son corps nu, ses seins et son sexe souvent rasé pour mieux voir les lèvres vaginales qui allaient s’humidifier et goutter pendant tout le supplice avec l’effet du gode qui provoquait des orgasmes à répétition.

En bas, les curieux attendaient, fascinés par la torture de la femme qui se dressait sur ses pieds cloués pour retomber empalée sur son gode hurlante de douleurs. Le spectacle macabre se déroulait lentement suivant la force des femmes souvent très résistantes. Certaines agonisaient ainsi environ 8 jours pour celles que le bourreau avait épargnées au fouet.

Puis, la soif commençait.

Les lèvres étaient sèches. La bouche était desséchée. Le sang était brûlant. La peau était fiévreuse. A ce moment-là, rien n'était plus nécessaire qu'une goutte d'eau froide.

L'eau était refusée.

Les soldats et le public buvaient sous les yeux de la crucifiée, seulement pour augmenter les douleurs psychologiques. Le soleil dardait ses rayons directement sur son visage. Une lueur crue entrait même par les paupières fermées. La langue enflait, la salive était comme de la laine froissée. Les mains et les pieds se mettaient à enfler. Le "sédile" pressait sur les parties génitales. Il était impossible de se tourner et de changer de position. Le tressaillement musculaire commençait.

Mais l'horreur débutait seulement.

Jusque-là, ce n´était qu´un jeu d´enfant.

Les muscles se contractaient les uns après les autres, ce qui provoquait de fortes crampes. Il n´y avait aucun moyen d´y échapper ou de les repousser, aucune main secourable pour masser et apaiser. Les crampes venaient jusqu'aux épaules et à la poitrine. Elles descendaient jusqu´à l´abdomen.

Après deux heures sur la croix, les muscles du corps n'étaient plus que des nœuds durs et l´agonie dépassait le seuil du supportable. Les femmes criaient jusqu'au stade de la folie. Leurs corps étaient secoués de tremblements incontrôlables pendant des heures ponctuées par les cris inhumains des crucifiées.

Les douleurs et les symptômes étaient les mêmes que pour le tétanos (état des muscles sous contraction permanente).

La  mort était plus cruelle et plus atroce que celle que provoque le tétanos - la contraction lente et continuelle de chaque muscle. La mort sur la croix prolongeait l'agonie le plus longtemps possible.

Chaque heure devenait une éternité.

De temps en temps, des crampes raidissaient la nuque et la tête s'appuyait alors sur le poteau vertical. Les femmes la bouche grande ouverte demandaient la mort, leurs corps n’en pouvaient plus.

Il y avait des mouches et des insectes, et le jappement des chiens qui sentaient le sang. Des oiseaux de proie traversaient le ciel, traçant leurs cercles toujours plus bas.

Les heures passant, les fines veines qui mènent aux nerfs se contractaient jusqu´à l´aplatissement, et le dysfonctionnement de la circulation du sang était la cause de raidissements aux effets paralysants.

Une nouvelle douleur attaquait celui qui était sur la croix : les muqueuses endolories.

Sur la croix, la souffrance n'avait pas de fin. Seules la manière et l'intensité des souffrances changeaient. Les cotes devenaient saillantes allongeant les seins, les ventres se creusaient par l’allongement des corps. Des jets d’urine jaillissaient de temps en temps des sexes torturés par la sédile.

Pour celles qui résistaient la nuit apportait la fraicheur mais pas la fin des souffrances qui devenaient infernales. Les râles des crucifiées résonnaient dans la nuit .Elles imploraient la mort qui ne voulait pas d’elles encore.

Les soldats avaient tendance à accélérer la mort pour celles résistantes au bout de quelques jours. Ils commençaient à casser les os. D'une échelle, un légionnaire frappait également d'un coup violent la hanche droite à l´aide d´un gourdin, et brisait la cuisse. Un deuxième coup encore plus violent, et la cuisse gauche était brisée.

Cela amenait de nouvelles souffrances inhumaines pour les crucifiées qui ne pouvaient plus se redresser sur leurs pieds.

La respiration devenait haletante et le regard lourd. La tête roulait sur le coté la bouche sèche grande ouverte présageant la fin prochaine.

Le corps de la femme ne réagissait plus, ses cuisses s’écartaient montrant un sexe en sang. Les bras étaient tendus à l’extrême, les seins étirés sur des cotes saillantes qui ne se soulevaient pratiquement plus avec un ventre très creusé par la position et la douleur.

La tête enfin basculait sur l’avant les yeux exorbités par la douleur et la bouche grande ouverte qu’elle n’arrivait plus à exprimer.

La crucifiée mourrait en silence.

 

 

 

Par pamela - Publié dans : tortures
Ecrire un commentaire - Voir les 13 commentaires
Samedi 5 juillet 2014 6 05 /07 /Juil /2014 13:53

La condamnée est amenée sur les lieux de son supplice dans une cage métallique posée sur une charrette tirés par un cheval..

Elle était captive depuis plusieurs mois dans le harem. Son statut de princesse l'avait alors épargné d 'etre égorgée avec sa famille.Le sultan l'avait longement torturée pour connaitre la cachette de sa mére et sa soeur ainée..

Elle avait révélé celle ci dans l'espoir vain d'arreter ses souffrances devenues insupportables.

 

Le sultan l'a obligé à assister aux tortures de sa mére et de sa soeur, impuissante,enchainée au mur de la salle des supplices du chateau, puis de leur mise à mort,comme elle aujoud'hui, empalées nues en public.

Sa mére était morte aprés 3 jours et sa soeur plus résistante en 4 jours dans des souffrances inhumaines.

Elle espérait mourir rapidement mais le bourreau était particulierement sadique pour que ses victimes restent en vie le plus longtemps possible.

 

Le sultan a réservé pour son peuple cette semaine de festivités aprés sa victoire en livrant une centaine de femmes captives et certaines de son harem  pour ces jeux mortels.

 

La place des jeux était entourée de poteaux, croix et pal sur lesquels des femmes nues plus jolies les unes que les autres se tordaient agonisantes aprés le spectacle de leurs tortures sur l'estrade.

 

Sur celle ci portique pour écarteler, croix de saint andré et poteau pour torturer au fouet les femmes dans l'attente de prendre la suite des suppliciées qui mourraient sur ces intruments.

Le public avide assistait à ce spectacle horrible.

 

Des cages metalliques se succedaient sur la place contenant chacune une ou deux de femmes à supplicier et repartait avec les cadavres des femmes mortes sous la torture.

A son arrivée elle voit au travers des barreaux de la cage ces instruments de supplice sur lesqels se tordent les femmes en hurlant de douleur.

 

La jeune princesse frisonna de peur ses mains enchainées crispées sur les barreaux de sa cage.

Ses bourreaux l'avaient préparée pour aujourd'hui en l'habillant de façon sexy et superbement maquillée et coiffée avec ses longs cheveux noirs.Elle n'avait pas été torturée depuis un mois pour avoir un corps légérement bronzé sans traces. 

Ses jambes tremblaient sur ses hauts talons.Elle avait déja uriné de peur et mouillé  son string; son humidité coulait en perles sur ses bas tendus par son porte jarretelle.Elle sentait ses seins dressés dans son soutien gorge, les mamelons déja sensibles.Sa jupe courte mettait ses jambes longes en valeur et un haut en tulle transparent moulait son buste .On devinait la beauté de ses seins.

 

Sa confidente, une superbe grande brune,crucifiée la veille, venait enfin de mourir aprés avoir hurler toute la nuit.Sa tete cachée par ses longs cheveux avait roulé sur le coté.Sa bouche grande ouverte trahissait sa lente agonie de suffocation.Elle pendait par ses bras cloués sur la poutre, ses cotes saillantes mettaient encore plus en valeur ses seins lourds étirés, son ventre s'était creusé au cours du supplice.Ses jambes qui ne la supportaient plus s'étaient écartées au niveau des cuisses du fait des pieds cloués sur les cotés du poteau.Son sexe imberbe apparaissait avec des grandes lévres charnues et de longues petites lévres trés luisantes car elle venait d'uriner depuis peu de temps.

Les gardes mirent à terre la croix pour déclouer la suppliciée.Ils passerent devant la cage de la princesse en pleurs de voir le corps nu de celle qui avait si longtemps partagée sa vie et etre jetée comme une chienne sur un chariot au milieu d'autres femmes mortes. Elle savait que cela allait lui etre aussi réservé bientot.

 

La femme torturée en attente sur l'estrade fut détachée de ses chaines et emmenée par les gardes au milieu de ses hurlements sur la terrible croix à terre couverte de sang.Ils durent de mettre à quatre pour lui maintenir les jambes et les bras.Le bourreau arriva avec les longs clous et sans ménagement à coups de marteau cloua les poignets de la suppliciée.Ses hurlements atteignirent son paroxisme au second clou et un des garde du mettre ses guenous sur son ventre pour la maintenir en place sur la croix tellement elle se débattait. Le clou sur chacun des pieds lui  fit perdre connaissance à la femme déja longement torturée.Les gardes estimérent qu'elle ne supporterait pas longtemps encore ce nouveau supplice et qu'elle mourrait pour la fin de la journée

.

torturée pal 034 Le sultan avait réservé un sort spécial à la princesse.Il voulait que le peuple voit comment jouissait cette femme superbe habituée à faire l'amour depuis son plus jeune age.

Aussi sur l'estrade le bourreau prépara en conséquence ses appareils diaboliques.

D'abord le poteau fut équipé d'un support en forme de cale destiné pour les pieds des crucifiées mais qui allait servir d'appui à la poitrine.Deux barres furent engagées dans les trous ,la barre inférieure pour le creux des coudes et la barre supérieure pour l'appui des mains.Des anneaux furent fixés au sol suffisament écartés entre eux et du poteau avec aussi des bracelets métalliques pour des chevilles.Un anneau métallique large destiné au cou fut fixé à l'avant du poteau et deux bracelets métalliques visiblement pour des poignets à l'arriére du poteau.

 

La princesse voyait ces préparatifs depuis sa cage redoutant que cela lui fut réservé Elle allait bientot connaitre leur usage diabolique pour le plaisir du peuple venu assister à l'execution.

 

Le bourreau descendit de l'estrade et se dirigea vers la cage de la princesse qui instintivement se réfugia dans un angle. La porte ouverte il la saisit sans ménagement par ses chaines des mains et la tira hors de la cage pour l'emmener sur l'estrade.

 

Il la présenta au public, la fit tourner pour admirer sa plastique.Puis il baissa sa mini jupe la faisant crier de surprise.Elle apparu en porte jarretelle noir et bas couture noir. Le public murmura de voir ses jambes gainées de nylon et l'effet érotique de ce porte jarretelle ,string et bas noirs perchée sur des hauts talons.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  A suivre

Par pamela - Publié dans : tortures
Ecrire un commentaire - Voir les 4 commentaires
Dimanche 22 septembre 2013 7 22 /09 /Sep /2013 16:56

Il est de plus en plus rare de nos jours de pouvoir assister à la mise en croix de femmes, exposées nues sur la place publique ou sur une colline des environs. La crucifixion, comme châtiment exemplaire est en voix de disparition partout dans le monde, signe de laxisme de la part des autorités judiciaires et de décadence des moeurs.

 

Les amateurs de crucifixion féminine, faute de mieux, peuvent toutefois assouvir leur passion en utilisant leur compagne consentante ou non ainsi qu'un matériel peu coûteux facile à fabriquer soi-même.

 

L'idéal est de posséder une maison avec une grande cave ou un grenier spacieux qui servira de salle de torture prélable pour l'interrogatoire et d' un vaste terrain accidenté, clôturé d'arbres pour  protéger la croix et sa suppliciée des regards indiscrets.

 

 L'été dernier un ami m'a entrainé dans un club sado maso qui pratiquait des supplices.

 

Le principe était que une ou des femmes étaient tirés au sort pour subir le supplice désigné. Je frémissais de cette expérience lorsque mon ami m'en a parlé mais j'acceptais. Les femmes devaient être habillées trés glamour, dessous sexy ,bas hauts talons ,coiffées longs cheveux, maquillées.Je mettais donc ma robe courte noire en gersey fluide et aprés mettre préparée toute l'aprés midi j'attendais mon ami vers 18h.

 

La voiture s'arreta sur un parking discret où déja une dizaine d'autres y étaient.Nons nous dirigeaames vers l'entrée. Aprés avoir sonné la lourde porte s'ouvrit sur une maitresse toute de cuir vétue. Mon sang se glaca mais j'avançais la peur au ventre.Elle me mis de suite des menottes métalliques aux poignets reliées à des chaines passées aux pieds. Je ne pouvais plus m'échapper et me déplaçait dans un cliquetis de métal. Je fus poussée à l'entrée d'une salle où dans le sas une urne de tirage au sort se trouvait pour le choix du supplice.Mon ami tira un papier et le montra à la maitresse qui sourit satisfaite. J'avais peur maintenant de ce qui allait m'etre réservé.

 

Elle me pris par le bras et me retira de mon ami pour m'entrainer dans une arriére salle.Elle me dis pour me rassurer que mon ami était dans la salle pas loin et me verra.

 

Je commençais à entendre des gémissements de femmes, parfois ponctués de hurlements qui venaient de la salle. La maitresse me dis que des femmes étaient au supplice et que bientot ce serait mon tour. Le tirage au sort m'avait désignée pour subir le supplice complet de la crucifiction. Mes jambes se dérobaient sous moi à cette idée, la flagellation d'abord et la crucifiction ensuite jusqu'à l'épuisement. La maitresse me dis que cela durait plusieurs jours. Les autre femmes étaient souvent là depuis 2/3 jours, voire plus à la demande de leurs maris.

 

J'entrais dans une cellule d'attente qui communiquait par une porte avec la salle et je fus enchainée au mur comme au moyen age au cou ,poignets et pieds par de lourdes chaines.

J'entendais maintenant distinctement les hurlements de la femme torturée sur la scéne.J'étais folle de peur et je me mis à uriner dans mon string. J'écartais les cuisses car je ne pouvais me controler, mes mains étant attachées au dessus de ma tête.

 

Le temps me sembla interminable, entre claquements du fouet et cris étouffés de la femme qui me précédait.

 

Puis un silence et il me sembla que l'on tirait son corps inanimé dans la cellule voisine avant le bruit des chaine qui l'immobilisait certainement comme moi. J'avais encore plus peur car cela aller être mon tour.

 

La porte s'ouvrit et le public put me voir enchainée dans la celluleUn brouhaha du public indiqua qu'il s'impatientait à me voir.Les chaines me furent otées et je fus poussée sur la scéne pleine de lumiére.J'étais encore habillée comme l'avais demandé mon ami glamour. Le public sembla apprécier aux murmures que j'entendis.

 

La maitresse me lut mon supplice: crucifiction dans 3 jours précedée d'interrogatoires pour indiquer mes complices du complot.Je n'en croyait pas mes oreilles et tombait à guenoux pour supplier de m'épargner tous ces tourments. Mais le public n'apprécia pas et la maitresse me releva par mes longs cheveux blonds en me disant que les supplices seront appliqués.

 

Pour commencersuspendue-01a.jpeg elle fis descendre une barre.Deux femmes de l'assistance vinrent m'attacher hogtied,coudes serrés mains, guenoux et chevilles liées.Un baillon boule me fut enfoncé dans la bouche et serré fortement derriére la nuque; je ne pouvais plus rien dire de comprehensible.On me souleva pour passer mes jambes au dessus de la barre et l'une des assistante lia immédiatement mes mains à mes pieds.J'étais pendue tête en bas, incapable de me dégager de la position. Pour m'empêcher de tourner une corde me fut passée autour du cou et reliée aux mains en s'accrochant au poteau au passage.Mes seins étaient maintenant sortis de ma robe par leurs poids et ma robe était remontée dévoilant  mes jarretelles et un peu de mon string..

 

C'était diabolique je ne pouvais plus bouger pendue la tête en bas j'étais sur un coté du portique pour assister à la flagellation d'une toute jeune femme.

 

Je l'ai vue arriver, les mains liées dans le dos ;sa mére venait juste d'être torturée avant moi et c'était à son tour de subir une flagellation écartelée nue devant le public.Sa beauté était sublime avec ses jeunes seins qui pointaient fierement.Son sexe était épilé révélant des petites lévres bien formées et luisantes certainement de peur. 

 

ecartelee-03.jpeg

 

 

Elle fut étendue sur la croix de saint andré et les assistantes fixerent aussitot les courroies autour de ses membres puis la baillonnérent à son tour.

La croix pouvait pivoter et etre redressée si besoin.

La maitresse présenta la jeune suppliciée au public en la faisant tourner la croix sur son axe pour que le public voit bien son corps et ses parties intimes dévoillées.

Le public voulait savoir si elle serait aussi résistante que sa mére à la douleur et qui hurlerait le plus fort.

 

 

 

Je tournais la tête et vis avec frayeur une petite fille blonde d'un couple dont la mére nue, les mains menottées dans le dos, pratiquait une fellation à son mari.

Il lui expliquait où me mettre les pinces crocodiles en désignant certainement mes seins volumineux.Elle monta sur l'estrade et sans se tromper me les posa sur les mamelons saillants. Elle me souris et me caressa la tête lorsque je hurlais de douleur, étouffée par le baillon.Puis elle repartit s'asseoir par terre à coté de sa mére toujours à guenoux occupée avec le sexe de son mari.

Les pinces ajoutaient un niveau de douleur à mon supplice.Mais je fus surpris par les premiers cris de la jeune femme dont la flagellation commençait.Ses hurlements stridents s'emplifaient lorsque les laniéres touchaient les lévres de son sexe.Les violentes contractions de son corps montraient l'habileté du bourreau à atteindre ses parties sensibles.Les courroies se tendaient à craquer à chaque fois mais involontairement elle présentait son corps toujours à son bourreau malgré ses tourments.

Sa mére se mis à supplier dans son cachot tout proche d'arrêter de torturer sa fille et demandait à être mise à sa place pour l'épargner.

 

La suppliciée aprés son interrogatoire ,encore marquée des traces du fouet sur son corps est amenée sur le lieu de l'execution dans le jardin les mains liées dans le dos, un collier métallique prolongé d'une chaine sert à la guider fermement sur les lieux de son supplice

 

Elle est habillée en tailleur sombre avec bas chair à couture et escarpins hauts talons noirs.La veste légérement ouverte laisse apparaitre la dentelle de son soutien gorge noir et dans sa démarche ondulante on peut voir le début des bas maintenus par des jarretelles révélés par la mini jupe fluide qui s'ouvre au gré du vent.

 

Le public priviliégié reteint son souffle devant ce tableau sensuel de cette jeune femme dont les hauts talons résonnent sur le dallage menant à sa crucifiction.Des hommes sont présents avec des jeunes femmes à guenoux à leurs pieds.

 

La suppliciée est poussée vers la croix qui est au sol.

 

Elle supplie son bourreau de l'épargner en tombant en pleurs à ses pieds. Il la reléve par sa longue chevelure blonde qui lui cache le visage.

 

Il lui rejete ses cheveux dans le dos pour la présenter à l'assistance qui est muette devant la beauté de cette femme qui va souffrir le martyr devant leurs yeux.Déja des jeunes femmes ont dégagés les sexes de leurs compagnons et à guenoux entreprennent une fellation. Certaines ont déja les mains liées dans le dos.

 

Le bourreau délie les mains de la suppliciée et il entreprend de la deshabiller. La femme se débat. D'abord sa veste qui révéle sa poitrine ferme soulignée par son soutien gorge push up en dentelle noire puis la mini jupe glisse à ses pieds.Elle apparait sans string, en porte jarretelles et bas noirs tirés sur de superbes jambes mises en valeur par ses hauts talons vernis. Son sexe apparait alors, soignement épilé.Il montre des grandes lévres charnues dévoilant des petites lévres roses et luisantes avec un mont de venus saillant traduisant sa peur..Elle veux mettre ses mains sur sa poitrine et son sexe mais le bourreau les lui raméne dans le dos.Il termine son effeuillage la laissant complétement nue.

 

La femme sanglote de sa situation ainsi offerte aux regards de l'assistance qui ne dit pas un mot subjuguée par la beauté de ce corps.

 

Il lui met de suite de larges bracelets métalliques chromés aux poignets et aux chevilles, serrés par des vis intérieures empechant toute fuite de la suppliciée. Elle est ensuite conduite prés d'un poteau d'exposition destiné à exposer le corps de la suppliciée avant la crucifiction.Ses mains sont  attachées au dessus de sa tête à un anneau, de même pour les les chevilles au pied du poteau.

 

La femme est étirée sur la pointe de ses pieds face au public qui peut la voir d'abord se débattre ainsi offerte dans l'attente insupportable du spectacle de la crucifiction.Au bout de plusieurs heures la jeune femme s'est affaissée dans ses chaines épuisée.

 

Dans le public de nombreux rales de jouissance des hommes qui éjaculent sur leurs compagnes, excités par le spectacle

 

Le bourreau juge alors le moment propice pour commencer le supplice final.Les chaines sont décrochées des bracelets. La jeune femme sans force s'abandonne dans les bras de son bourreau qui va la déposer le dos à la croix posée sur le sol.

 

Deux femmes de l'assistance en lingerie viennent aussitot aider le bourreau à attacher les bracelets aux anneaux de la croix avant que la jeune femme ne réagisse.Celle ci ne tarde pas à hurler, apeurée, se rendant compte de la situation, à se débattre mais trop tard.Une des jeunes femmes lui caresse les seins saillants lui disant de se calmer.

 

Le bourreau et ses aides féminines redressent verticalement la croix dans des hurlements de frayeur de la suppliciée.La croix descend dans son trou d'un coup secouant le corps crucifié qui pousse un long cri de souffrance.

 

Les bracelets permettent à la femme de se tordre sur la croix sans etre mutilée mais les souffrances sont les mêmes et durent extremement longtemps avant la mort de la suppliciée. Cette méthode est d'un raffinement de cruauté qui peut etre augmenté en disposant un bois triangulaire au niveau de l'entrejambe.Le bourreau juge de la bonne hauteur lorsque la femme se repose dessus bras tendus et jambes légerement repliées.

 

La suppliciée s'appuie sur ses jambes attachées par bracelets à la base de la croix pour soulager ses bras et respirer tout en ne touchant pas avec ses lévres vaginales l'arete de bois.Mais la fatigue aidant la femme  relache la tension dans ses jambes et elle s'affaisse, retenue seulement par les bras écartelés et son sexe meurtri par l'arete diabolique du bois.

 

Au bout de plusieurs heures de ces efforts les jambes se tétanisent, tremblent et supportent difficilement le corps qui pend par les bras engourdis. Des filets de sang coulent maintenant de son sexe le long des jambes de la suppliciée qui s'étouffe en criant. 

 

Ce manége diabolique peut durer des jours, la suppliciée urinant par saccade.Aprés une journée la femme est hagard et demande pitié. Certaines préférent la mort à la poursuite du supplice.Les moments de répis sont les évanouissements dus à la douleur

  crucifiee-09.JPG

 

 

 

Les jambes se mettent à trembler convulsivement en secouant le corps ce qui déclenche un ballotement des seins en tous sens. Les yeux de la condamnée remplis de terreur s'arrondissent comme des billes tandis que la bouche crispée n'arrive pas à contenir des grognements sourds de douleur, de rage et de honte. Puis le buste bascule en avant tandis que la croupe se dresse contre la potence à la recherche d'un point d'appui illusoire. Mais le corps glisse inexorablement, tire de tout son poids sur les bras distendus et les poignets "cloués".

Les cuisses s'ouvrent et s'offrent aux regards aguichés. La suppliciée se sent comme écartelée. L'asphyxie devient intolérable. Il faut remonter coûte que coûte! Et le fabuleux spectacle recommence ainsi indéfiniment sans que l'on s'en lasse.

PAM-CRUCIFICTION-03.jpg

Vous avez tout le loisir de le faire durer selon votre bon plaisir jusqu'à ce que l'orgasme vous fasse monter au septième ciel ou jusqu'à l'épuisement complet de la femme. Le supplice peut durer des heures pour les plus endurantes à surveiller car la femme à la fin n'a plus de force et s'étouffe sans pouvoir le dire .

La bouche grande ouverte, le corps pendu par les poignets sans réaction sont le signe de l'épuisement.

Par pamela - Publié dans : tortures
Ecrire un commentaire - Voir les 3 commentaires
Vendredi 20 septembre 2013 5 20 /09 /Sep /2013 14:28

 

CCela faisait quelques temps que Kevin ne s’était pas « occupé » d’Elsa, une éternité pour lui et un temps de répit pour elle. Il a eu tout le loisir de fantasmer sur le futur traitement qu’Elsa allait avoir à subir. Après de multiples hésitations, il a décidé de donner vie à un dessin de BD qui était loin de le laisser indifférent et lui faisait toujours le même effet au niveau de son bas ventre quant il y pensait.

En fait, il y avait le dessin, mais surtout le texte qui expliquait avec moult détails la situation dans laquelle était la fille.

Pour ce qui est du dessin, ou plutôt des dessins, une fille simplement attachée les bras dans le dos, rien de bien exceptionnel,

gl01.jpg

Mais le deuxième dessin est déjà plus explicite sur les équipements équipant la fille.

gl02.jpg

 

Une ceinture de chasteté un peu particulière munie de 2 plugs qui n’ont pas l’air si méchants que cela.

Mais c’est le texte qui décrit toute l’horreur de la situation.

La fille est en fait une prisonnière qui au lieu d’être enfermée dans une cellule, elle bénéficie d’un régime particulier, un peu comme le bracelet électronique mais paraît-il beaucoup plus efficace …

Un boîtier électronique est placé dans le dos de la fille. L’auteur en précise l’utilité, en fait, c’est un récepteur de télécommande, destiné à commander les différents dispositifs dont elle est équipée.

Tout d’abord le plug vibrant inséré dans sa chatte, les geôliers peuvent déclancher les vibrations  à volonté, et ils ne s’en privent pas. La fille doit aimer au début, mais ce doit être l’horreur à la longue. Mais c’est pour elle le seul coté agréable. Ses tétons sont munis d’électrodes reliées au boîtier par des fils électriques, ce qui permet de la punir à distance, l’intensité peut être ajustée en fonction des fautes commises, enfin en théorie car le truc est toujours réglé au maxi, et tout est motif à punition pour les geôliers qui prennent un réel plaisir à la voir se tordre sous l’effet des décharges électriques.

Mais le plus horrible est ce qu’elle renferme dans ses fesses, le plug est rempli de C4, un puissant explosif, très dissuasif pour empêcher la fille de s’échapper. Il peut être commandé à distance mais peut aussi se déclancher automatiquement si la fille devient hors de portée de l’émetteur.

Tout un programme pour Kévin … et ce doit être une surprise pour Elsa.

 

Cela fait une bonne semaine qu’il réfléchit aux adaptations possibles, à chaque fois qu’il pense au dessin, c’est Elsa qu’il voit à la place de la fille. 

Quelques achats sur internet et un peu de préparation, Kevin est maintenant prêt.

  

Elsa ne doit pas connaître le dessin en question et Kevin ne lui en a jamais parlé. Elle devrait être coopérative.

Pour ne pas attirer ses soupçons, Kevin décide d’appliquer progressivement son plan le week end suivant.

Samedi matin, un bon bain avant de revêtir la tenue de rigueur pour bien commencer le week end, un peu contraignante, surtout que Kevin l’a avertie que c’était pour les deux jours.

gl03.jpg

 

Combinaison intégrale de vinyle noir, ballet boots, un vrai délice pour Elsa. Elle est presque frustrée que seulement ses bras soient immobilisés dans son dos par un efficace monogant bien ajusté. Kevin l’avait habitué à mieux … pas de bâillon, les jambes libres … triste week end.

  Kevin décide qu’il est temps de prendre l’air et de profiter cette belle matinée d’été. Les choses se compliquent pour Elsa, il va falloir marcher, exercice quasi impossible avec ses talons, mais Kevin est sympa, et avec son aide la voilà maintenant dans le jardin. gl04.jpgSon équilibre est plus que précaire et Kevin en a vite assez de la soutenir et Elsa finit à plat ventre sur la pelouse.

gl05.jpg

Kevin, prétextant la mauvaise volonté d’Elsa continue malicieusement de dérouler son plan diabolique. Quelques entraves supplémentaires pour immobiliser Elsa et lui faire comprendre qu’elle n’est pas en situation de résister. Elle reste étendue, ligotée en attendant le bon vouloir de Kevin.

gl06.jpg

 

Cela fait plus de 2 heures que Kevin l’a abandonnée là, elle commence à avoir d’atroces crampes et craint d’avoir à passer le reste du week end ainsi.

Cette attende fait partie du plan de Kevin pour qu’Elsa coopère pour la suite.

Kevin est de nouveau là, les gémissements d’Elsa se transforment en supplications pour qu’il lui libère au moins les jambes …

Curieusement Kevin ne semble pas contre mais comme elle s’y attendait, il propose une contrepartie, quelques accessoires en échange et pas de questions à leur sujet.

Comme Elsa n’a pas vraiment le choix et de toute façon n’est pas en position pour refuser quoique ce soit, Kevin a le champ libre pour mener son plan à bien.

Kevin ramène Elsa dans la maison pour poursuivre.

Les bras toujours prisonniers du monogant, Elsa assiste impuissante aux préparatifs avant que Kevin ne l’équipe des accessoires.

Elsa commence à regretter d’avoir si facilement accepté en voyant les objets préparés par Kevin.

gl07a.jpggl07b.jpg

 

Les deux plugs munis de fils électriques lui promettent rien de bon, les électrodes, elle ne connaît que trop …

Ils sont rapidement insérés dans ses deux orifices avant qu’une ceintures de chasteté vienne empêcher toute envie de les enlever.

gl08.jpg

Puis Kevin s’occupe des seins d’Elsa, plaçant une électrode adhésive de chaque coté de chacun de ses tétons.

gl09.jpg

 

Ensuite, Kevin termine de la « rhabiller » puis place une curieuse boite munie d’une antenne dans le dos d’Elsa. Il y raccorde les différents fils provenant des plugs et des tétons.

C’est seulement maintenant qu’il montre à Elsa les deux dessins qui ont inspiré le scénario dans lequel elle est la principale intéressée. Il lui détaille toutes les subtilités de l’équipement de la fille, insistant surtout sur le C4. Elsa se mit à hurler, Kevin est devenu fou.

Récupérant au passage une télécommande identique à celles servant pour le modélisme, il conduit de nouveau Elsa terrorisée à l’extérieur.

gl10.jpg

 

« Allez, je vois que tu commence à angoisser, mais je ne suis pas complètement débile, j’ai un peu modifié tes équipements par rapport à l’original. Pour les seins, malheureusement pour toi, rien de changé. Par contre, pour les plugs, j’ai eu pitié de toi, tu n’auras pas de C4 dans les fesses, je tiens trop à toi, mais ils ont quand même quelques particularités, celui dans ta chatte est vibrant, comme celui de la fille du dessin, mais il possède également 2 électrodes … tout comme celui de tes fesses. Cela doit t’aider à rester tranquille. Je crois que j’ai assez d’arguments pour que tu ne me désobéisses pas trop. »

Sur ces paroles, Kevin teste les équipements pour que Elsa puisse en mesurer tous les effets. Il se contente de réglages relativement modérés pour commencer. Elsa gémit sous l’effet de la morsure du courant dans ses parties les plus intimes. Kevin continue à jouer avec la télécommande pendant quelques instants puis abandonne Elsa à son sort en ayant pris soin de laisser vibrer le plug de sa chatte. Il s’éloigne et disparaît de la vue d’Elsa alors qu’elle sent son premier orgasme la dévorer, impossible de l’empêcher, elle est condamnée à subir en permanence les assauts de ce truc tant que Kevin le voudra. Heureusement, les électrodes sont désactivées, tout du moins pour l’instant …

Cela semble à Elsa une éternité, depuis combien de temps Kevin est parti ?, combien d’orgasmes ?, elle ne compte plus.

 

Kevin est enfin revenu, la télécommande de nouveau à la main, Elsa se tord sous l’effet de la morsure de l’électricité dans sa chatte, puis ses fesses, puis ses seins et çà recommence. Kevin la regarde onduler comme un serpent sur l’effet des décharges, ce qui semble l’amuser.

« Au fait tout à l’heure, je t’ai menti, ou plutôt je ne t’ai pas tout dit, pour le plug de tes fesses, c’est vrai qu’il ne contient pas de C4, mais il n’est quand même pas complètement inoffensif. Il contient une petite cartouche de CO2 sous pression qui a pour effet de pouvoir le gonfler, un truc que j’ai découvert sur internet, le fabricant indique que la cartouche garanti un volume d’au moins 1 litre et que le diamètre peut atteindre 10 bons centimètres, le plug de ta chatte a également les mêmes propriétés, mais là, le fabricant parle de plus de 2 litres, il indique même que une fois le truc gonflé, la fille parait enceinte d’au moins 7 mois … Mais je n’ai pas eu à m’en servir. Je te précise au passage que si tu avais eue la bonne idée de casser ton antenne, l’absence de signal radio aurait déclanché le gonflage … »

Elsa à l’air horrifié par l’idée du châtiment auquel elle a échappé. 

 

« Allez, il est temps de modifier un peu ton équipement, la télécommande ne m’amuse plus vraiment, je t’ai concocté quelque chose de plus sympa, tu auras ton destin en main. »

Kevin à décidé de sortir Elsa ce soir, dans une boite un peu spéciale, où  elle ne devrait pas vraiment dépareiller.

Il enlève le boîtier qui est fixé dans son dos, pas très sexy et pas pratique, et il ne veut pas prendre le risque que l’antenne se brise avec pour effet  de gonfler le plug, le truc doit seulement être dissuasif.

Il place un autre boîtier plus petit qu’il incorpore dans le nouveau monogant.

 

Kevin place ensuite un énorme bâillon boule dans la bouche d’Elsa, deux petits fils électriques sortent du bâillon. Il entrouvre la fermeture du catsuit de vinyle, place ce qui ressemble à une petite plaque de mousse sur le devant, couvrant l’entrejambes. La plaque de mousse est également équipée de deux fils.

Kevin dissimule les fils sus le catsuit de vinyle et les raccorde au boîtier caché sous le monogant, tout l’étrange dispositif est invisible de l’extérieur, seule la ceinture de chasteté reste perceptible au travers du vinyle.

Il insère également un petit écouteur dans son oreille droite, écouteur relié lui aussi au boiter.

gl11.jpg

« Enfin prête miss, il est temps d’y aller, juste le temps de récupérer la voiture, attends moi, je reviens »

Kevin abandonne Elsa, la laissant imaginer ce qui l’attend, mais tout est encore mystérieux pour elle, il n’y a plus la télécommande, et de nouveaux intrus ont été ajoutés … elle ne présage rien de sympa. 

Le retour de Kevin la tire de ses pensées, elle s’attend à des explications, mais Kevin a l’air de vouloir la laisser cogiter sur son sort …

Dernière petite touche avant de partir, Kevin lui demande de mettre sa tête en arrière. Il tend un petit câble entre le sommet de sa tête et un petit anneau fixé sur le boîtier.

« Un conseil, reste la tête en arrière quoiqu’il arrive, sinon l’effet peut être dévastateur »

Elsa ne sait pas pourquoi, mais elle est décidée à croire Kevin et à maintenir sa tête en arrière malgré la tension dans son cou, elle regarde maintenant constamment le plafond. Kevin en profite pour lui placer 2 lentilles de contact sur les pupilles, qui ont aussi la particularité d’empêcher les paupières de se fermer..

Kevin aide Elsa à s’installer dans la voiture et lui attache la ceinture de sécurité. Curieusement, Elsa se trouve prisonnière, assise dans la voiture, étrange sensation que d’être immobilisée par cette ceinture.

Kevin met le moteur en route et commence à rouler tandis que Elsa se concentre pour maintenir sa tête toujours en arrière. Elle ne voit que le toit de la voiture et n’a  aucune idée du chemin et de la destination.

La voiture finit par s’arrêter, Kevin coupe le moteur et observe Elsa maintenant complètement immobile. Il sait à quoi elle pense et combien elle s’interroge. Il est maintenant temps d’arrêter le suspens.

« Je te dois bien quelques explications, pour que tu puisses profiter au maximum de ta soirée. Je ne sais pas ce que tu as deviné ou pas. Tout est relié au mini boîtier que tu as dans le dos, c’est lui qui gère, mais c’est toi qui commande et qui décide de ce qui va t’arriver. Je te précise que pour l’instant rien n’est actif …

Je vais commencer par tes seins, le plus basique, les électrodes sont activées par le micro que tu as dans le bâillon, plus le son est fort, plus le courant augmente, tu n’as qu’à rester muette et rien ne t’arrivera.

Le plug dans tes fesses, il est un peu particulier, il réagit à la pression de tes sphincters, si tu relâche la pression, les électrodes te rappellent à l’ordre, là aussi tu n’as qu’à garder les fesses serrées. 

Le plug dans ta chatte, il fonctionne un peu comme celui des fesses, un capteur mesure la pression de tes muscles, et si tu relâches, tu es rappelée à l’ordre.

« Je crois que tu sais maintenant tout ou presque. Deux derniers détails, le premier, le câble qui maintient ta tête en arrière est relié à une goupille insérée dans le boîtier de commande. Tant que la goupille est en place comme maintenant, rien n’est activé, par contre, si tu baisse la tête, tu arraches la goupille et tous les systèmes deviennent actifs et il n’y a pas de retour possible. Le dernier détail et j’en aurai fini, les lentilles placées sur tes yeux ont la particularité de s’obscurcir progressivement avec la lumière ambiante, jusqu’à devenir complètement opaques. Si j’avais un dernier conseil à te donner, j’éviterai de trop fixer les spots du plafond, eh oui, tu dois choisir, devenir aveugle ou activer tes gadgets … Petite information au sujet des réglages, en fait, ce n’est pas comme la télécommande, il n’y a pas de réglages, ou plutôt tout est au maxi, vibrations, intensité … »

« Mais au fait, je manque de savoir vivre, tu dois avoir soif depuis le temps ». Kevin l’énorme bâillon boule de sa bouche et approche de sa bouche une grande bouteille qui contient un liquide verdâtre. Elsa se méfie un peu et teste du bout des lèvres le liquide qu’elle reconnaît, en fait de l’eau mélangée à du sirop de menthe. Elle bout quelque gorgées, mais devant l’insistance de Kevin, vide finalement la bouteille qui devait contenir un litre et demi.

 

Kevin replace le bâillon qu’il serre à nouveau très fort et libère Elsa de sa ceinture de sécurité et l’aide à sortir du véhicule. Il lui place une chaînette autour du cou, chaînette à laquelle est accrochée une petite pancarte qui est maintenant dans son dos.  Il l’aide à marcher jusqu’à l’entrée de la boite. Elsa se déplace difficilement avec ses interminables talons, ses bras absents qui augmentent la sensation d’instabilité et surtout sa tête cambrée en arrière. Ils entrent dans la boite et se fraient un passage au travers des nombreux clients. Elsa ne peux regarder que le plafond illuminé et est incapable de voir ce qui se passe autour d’elle.

« Il est 22 heures passées, je suis un peu fatigué de ma journée, je crois que je vais rentrer et me coucher. Mais je ne veux pas gâcher ta soirée, tu peux rester … »

Elsa n’en croit pas ses oreilles, il n’en est pas question, Kevin ne va pas l’abandonner, elle bredouille quelques mots inaudibles dans son bâillon, elle est sur le point de baisser la tête pour se rendre compte de la situation, mais se ravise, et de toute façon, Kevin est déjà parti, le salaud.

Elsa reste plantée au milieu de nul part, elle ne sait pas quoi faire et commence à évaluer la situation critique dans laquelle elle est. Les lentilles de ses yeux commencent à faire leur effet, les lumières deviennent moins vives. Si elle reste ainsi, ce sera bientôt l’obscurité totale, et ce sera alors impossible de se sortir de ce mauvais pas. Mais si elle baisse la tête ? Elle activera les systèmes …

Elle se remémore les explications de Kevin.

Les seins, se taire, probablement le plus facile. Le plug des fesses, serrer les fesses, elle devrait y arriver sans trop de problèmes. Le plug dans la chatte, contracter les muscles, elle est plutôt forte pour çà.. Finalement, le mieux est de baisser la tête pour essayer de ce sortir de ce guêpier au plus vite.

Encore quelques secondes d’hésitation, Elsa serre les fesses et contracte les muscles de sa chatte et elle baisse finalement la tête, un petit clic se fait entendre au niveau du boiter indiquent que la goupille est arrachée. Mais pour Elsa, c’est l’horreur, le plug dans sa chatte est maintenant animé de puissantes vibrations. Kevin avait tout dit, sauf çà, la goupille active également les vibrations du plug, et il ne sait pas comment l’arrêter ou même si elle peut l’arrêter.

C’est à ce moment qu’elle reconnaît une voix dans le brouhaha de la boite. Kevin, mais non, il est parti, la voix est dans l’écouteur, un message enregistré:  

 » Ultimes détails, mais pour ceux là, j’ai préféré attendre d’être loin de toi pour te les donner. J’espère que tu n’as pas oubliés les dispositifs de gonflage de tes plugs. Je vais t’en expliquer toutes les subtilités, je dois dire que c’est assez raffiné…. Pour ce qui est du plug de tes fesses, il est en fait commandé par les talons de tes boots. Une commande assez subtile, tant que tes 2 talons touchent le sol, il ne se passe rien ou rien d’immédiat, mais au bout de une minute, si les deux talons sont toujours en contact, le gonflage est déclanché et la cartouche va se vider complètement, je te laisse imaginer … Oui je sais que tu connais la parade, il suffit de marcher ou de soulever de temps en temps un des talons… Pas si simple, chaque fois qu’un des talons quitte le sol, le dispositif va libérer une toute petite quantité de CO2 dans le plug. A toi de gérer… Au cas où tu aurais la bonne idée de t’allonger, je te préviens que si aucun des deux talons ne touche le sol le CO2 va très lentement gonfler le plug, jusqu’à ce qu’un des talons ne revienne à nouveau en contact avec le sol pour arrêter le gonflage, qui peut durer la journée jusqu’à ce que la cartouche se vide  si tu laisses faire, mais je sais que tu n’en as pas envie.

Pour le plug de ta chatte, c’est moins compliqué et plus basique, la petite plaque de mousse de ton entrejambes est en fait une petite éponge qui contient un capteur d’humidité, je te laisse deviner la suite … tu n’aurais pas du tant boire, mais à ta place, j’éviterai de faire pipi … »    

Elle regarde autour d’elle, la pièce est pleine de monde, du monde habillé.  normalement comme dans une boite normale, pas une boite fétichiste ou SM, elle est la seule dans cette tenue et tout le monde l’observe. Elle essaie d’évaluer la situation pendant qu’elle sent le plaisir monter inexorablement en elle. Elle pense au message de Kevin et lève un talon, elle sent le plug se dilater très légèrement … Elle va finir par exploser, devant son public qui en fait ignore tout des tourments auxquels elle est soumise. Elle hurle dans le bâillon au moment où elle explose, seul un grognement sourd est audible à l’extérieur mais le bâillon fait son travail, ses tétons sont traversés par de violentes décharges électriques, elle se tord de douleur au milieu de la pièce et perd en même temps le contrôle de ses muscles faisant réagir les électrodes de ses deux plugs. Elsa réussit à reprendre le dessus, contracte à nouveau ses muscles, mais les vibrations dans sa chatte sont toujours aussi intenses, et elle est obligée de contracter ses muscles en permanence sur le plug. Elle sait qu’elle va continuer à exploser comme çà toute la soirée. Et personne n’est là pour l’aider. Elle pense à lever régulièrement un de ses talons et l’effet se fait aussitôt ressentir dans son étroit orifice. Elle a du mal à contracter en permanence ses muscles pour maintenir la pression sur les plugs et ceux-ci le lui rappellent si besoin.

Quelqu’un finira peut être par comprendre et l’aidera ?. Elle pense à rentrer à pieds, en marchant, le plug va lentement se gonfler, mais au moins elle va se rapprocher de Kevin, sinon, en restant ici, elle est certaine de l’issue, les plugs, sans compter les vibrations et les décharges dans ses tétons … 

Elle essaie de se déplacer dans la boite dans l’espoir de rencontrer l’âme charitable. Elle repère une fille qui la regarde avec insistance, une fille, elle devrait la comprendre. Elle se rapproche et juste devant la fille est de nouveau cueillie par un violent orgasme, ce qui n’a pas l’air de déplaire à la fille qui regarde maintenant Elsa avec grand intérêt. Elle fait le tour de cette forme bondagée qui l’inspire et disparaît derrière Elsa. Elle enlève la chaînette et la pancarte du cou d’Elsa et la montre à l’assistance comme un trophée. Elsa, malgré les lentilles sombres couvrant ses yeux déchiffre les mots imprimés.

« Consignes pour le retour d’Elsa »

Finalement, Kevin n’est pas si vache que çà, il avait prévu le retour.

La fille ouvre l’enveloppe et prend quelques instants pour lire la feuille qui était à l’intérieur.

Puis la fille aide Elsa à sortir de la boite, accompagnée par quelques clients qui veulent profiter encore un peu du spectacle d’autant plus qu’un nouvel orgasme est en train de ravager Elsa.

Ce que voit Elsa à l’extérieur a plutôt tendance à l’exciter, une caisse, ils vont la mettre en caisse pour la ramener, dans à peine 10 minutes elle sera de nouveau auprès de Kevin, génial.

La fille aidée par un des clients ne cherche pas longtemps dans quelle position placer Elsa, la caisse étant faite aux mesures exactes, elle est finalement impeccablement immobilisée dans les dispositifs de calage.

Ils restent quelques instants à contempler le contenu de la caisse et Elsa commence à sentir le plug de ses fesse se dilater très progressivement, mais c’est loin de l’inquiéter, juste le temps du trajet … Par contre, elle sait qu’elle est de nouveau prête à exploser sous l’effet des vibrations du gode, elle se lâche dans le bâillon, et les décharges dans ses seins ne se font pas attendre.

gl12.jpg

Ils se décident enfin à fermer le couvercle, couvercle qui est ensuite cloué sur la caisse. Un vrai supplice pour Elsa, chaque coup de marteau résonne dans la caisse et déclanche le micro du bâillon et ses tétons sont électrifiés à chaque coup de marteau.

Finalement le couvercle est bien fixé et le silence est revenu dans la gl13.jpg 

caisse. Plus qu’à charger la caisse et le voyage va pouvoir commencer…

Elsa sait que la fille est toujours là car elle l’entend parler aux clients sortis pour assister à l’emballage.

« Plus qu’à téléphoner au transporteur pour qu’il vienne chercher la caisse, il y a son numéro sur la feuille ».

Elsa est un peu surprise que Kevin aie prévu un transporteur, mais c’est vrai que les clients ne doivent probablement pas être venus avec une camionnette … et puis même si cela va prendre un peu plus de tempes, c’est finalement,t plus rassurant que de partir avec un des clients déjà bien excité par le spectacle qu’elle a donné malgré elle.

« Allo, oui, les transports ICE, bonjour … j’ai un colis à livrer, vous devez être au courant ….oui il est prêt … oui oui, l’adresse est dessus … pas livré ce soir, ah bon, je croyais …oui, je sais bien que nous sommes samedi soir … fermé pour le week end … ah OK, vous faites quand même l’enlèvement maintenant … livraison lundi après midi …. la caisse entreposée chez vous … c’est que ….non, non, pas de problème … merci « .

 

Elsa a compris a demi mots et ne tient plus en place dans sa caisse, elle essaie de se dégager de sa caisse, mais callée comme elle est, impossible du moindre mouvement, elle essaie de hurler, mais la douleur dans ses tétons la dissuade rapidement. Elle ne peut rien faire qu’attendre, attendre. … la pression du plug dans ses fesses se fait de plus en plus pressante et sa vessie la fait souffir atrocement …


Elsa ne tient plus et urine. La réaction des électrodes est immédiate.Elle se raidit de souffrance dans ses liens en essayant d'hurler.

gl14.jpg

 

Par pamela - Publié dans : tortures
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Jeudi 12 septembre 2013 4 12 /09 /Sep /2013 19:18
Rupert von Hentzau - Captive des Indiens

Depuis sa capture il y a un an elle ne portait plus qu'un soutien gorge
dentelle noire mettant sa poitrine ferme bien en valeur avec un string dentelle
assorti dont la forme épousait et mettait en valeur ses fesses rebondies.
Elle portait aux pieds des escarpins noirs avec talons lui donnant une démarche
trés sexy dans le camp.Des chaines courtes avec des bracelets métalliques reliaient
ses chevilles pour éviter sa fuite. Des bracelets métalliques aux poignets permettaient
la nuit de lui maintenir les bras dans le dos.
Elisabeth marcha ce jour vers le ruisseau, lentement, comme si elle
descendait pour boire de l'eau. Elle s'agenouilla sur le
bord et se pencha pour se désaltérer.
Elle regarda autour d'elle avec précaution. Il n'y
avait personne en vue. Elle se redressa, fit un premier
pas dans l'eau, puis quelques autres jusqu'au milieu
du courant. A nouveau, elle se pencha pour prendre
une gorgée d'eau. A nouveau, elle regarda avec soin
autour d'elle. Il n'y avait toujours personne à l'horizon.
Elle marcha lentement dans l'eau jusqu'à l'autre rive
du ruisseau, s'arrêta sur le bord et se glissa derrière
le tronc d'un saule. Si n'importe qui était venu lui
demander ce qu'elle faisait, elle aurait fait comprendre
qu'elle se reposait. Elle attendit. Personne ne se
manifesta. Elle n'aperçut personne. Elle ne parvenait
pas à croire qu'il était si facile de s'échapper du
village. Elle se fraya silencieusement un chemin à
travers la végétation de ce côté du ruisseau, puis se
redressa et s'éloigna de la rive et du village. Elle ne
savait pas exactement de quel côté se diriger, mais
tout ce qui lui importait était de s'éloigner le plus
possible du village. Elle pouvait à peu près se
représenter la direction où se trouvait le campement
des colons pour y être à l'abri de ses
ravisseurs. Pendant une heure, elle traversa les bois,
en suivant les pistes des animaux, toujours à l'affût
pour voir si elle ne revenait pas accidentellement
vers le village. Soudain, une silhouette se dessina derrière
un grand chêne juste sur sa route. C'était celle d'un
des chasseurs du village. Elle se retourna pour

s'enfuir, et en trouva un autre derrière elle. Elle
se tourna sur sa gauche. Un autre chasseur émergeait
des buissons. De quelque côté qu'elle se tourne,
l'issue était bloquée par un Indien. Ils se
rassemblèrent comme un troupeau, la renfermant à
l'intérieur comme pour traquer un animal effrayé. Elle
chargea comme un taureau pour passer au milieu de
deux d'entre eux avant d'être saisie et rejetée dans
les bras d'un troisième. Ils la dénudèrent, arrachant
au loin son soutien gorge et le slip étroit.
Puis ils attachèrent ses poignets devant elle avec
une corde en cuir. Un des guerriers, une brute
particulièrement grande et forte, se chargea de la
corde. Ils s'en revinrent par la forêt, les autres
chasseurs marchant devant eux.
D'abord, ils semblèrent errer sans but. Mais l'un
des chasseurs finit par trouver ce qu'ils recherchaient.
Il interpella les autres et le groupe tout entier
convergea dans la direction d'où venait sa voix.
Il se tenait à côté de sa trouvaille, un arbre avec une
fourche fendue d'environ dix pieds au dessus du sol.
L'extrémité libre de la corde d'Elisabeth fut jetée
par dessus la fourche. Quatre des chasseurs s'en
emparèrent et tirèrent fortement, décollant les pieds
d'Elisabeth. Elle fut plaquée contre le tronc, puis
étirée vers le haut tout contre l'écorce rugueuse
jusqu'à ce qu'elle se retrouve à vingt centimétres du sol.
Ses chevilles furent saisies et attachées au tronc.
La corde de ses poignets subit quelques fortes tractions
supplémentaires avant d'être nouée, pour s'assurer qu'elle
était bien fermement étirée contre le tronc de l'arbre.
Tandis qu'Elisabeth était ainsi préparée, plusieurs Indiens s'en étaient
allés. Ils s'en revinrent avec des branches
soigneusement choisies, qu'ils repassèrent à leurs
camarades.

Le groupe entier prit alors son tour pour fouetter
Elisabeth, travaillant son dos, ses fesses et ses
cuisses. Ils ne s'arrêtèrent pas avant qu'elle n'ait été
couverte d'un réseau de stries. Alors, la corde fut
libérée et elle tomba comme un paquet au pied de
l'arbre. Ils la remirent sur ses pieds. Ses poignets
furent croisés derrière elle en arrière et attachés. Une
branche de cinq centimétres d'épaisseur et vingt centimétres de
long fut alors sanglée à ses poignets. Ensuite, une
mince corde faite d'un tendon fut étroitement nouée
autour des mamelons d'Elisabeth en les reliant. La
branche des poignets fut fixée entre ses jambes, dévoilant la fente
de ses lèvres inférieures et forcant Elizabeth à s'étirer vers l'arriére.
Une corde fut attachée avec une boucle passée au-dessus du
tendon qui reliait ses mamelons. Puis elle fut
rapportée vers le bas et attachée au bâton. L'Indien
chargé d'attacher la corde lui donna plusieurs bonnes
secousses pour s'assurer qu'elle était bien serrée.
Ainsi, les épaules d'Elisabeth étaient tirées en arrière
tandis que ses mamelons étaient allongés en bas, et
que la branche creusait dans ses parties intimes. Il n'y
avait aucune solution qui lui permette de soulager
la pression sur une zone sans l'augmenter quelque part
autrement.
Pour finir, une corde en cuir fut attachée autour
de son cou. Les Indiens se préparèrent à partir.
Elisabeth fut brutalement remise sur ses pieds, mais
parvint à regagner son équilibre. C'était un vrai
chemin de croix, avec l'écorce rugueuse de la
branche qui échauffait ses lèvres charnues à chaque
pas. Mais deux des chasseurs, à petits coups de
bâtons, avaient pris position derrière elle pour
s'assurer qu'elle continuait de marcher. Ils atteignirent
le village en quinze minutes. Elisabeth était
consternée de voir le peu de distance qu'elle avait
couvert dans sa tentative d'évasion. Trébuchant sur
ses derniers pas au centre du village, elle s'effondra

aux pieds du chef. Celui-ci donna un ordre brusque.
Ses liens furent retirés. Puis elle fut redressée par
deux guerriers qui restèrent à côté d'elle pour la
soutenir. Le chef la contempla longuement. Puis il se
lança dans un long discours incompréhensible et
violent. Il était visiblement très en colère. Elisabeth
regarda à la dérobée pour tenter d'apercevoir Becky
mais elle était nulle part.
Après avoir fini de la terroriser, le chef dit à
l'évidence " emmenez là " en faisant signe avec son
bras. Les deux guerriers traînèrent à moitié Elisabeth
une nouvelle fois jusqu'au poteau, où elle fut
solidement liée nue pour la nuit.Un indien lui donna  boire et du riz.
Tôt dans l'après-midi suivant, Elisabeth sans force fut retirée du poteau,
déliée et traînée jusqu'au rectangle de bois pour de nouvelles
tortures. Celui-ci avait été modifié légèrement. Il y
avait maintenant une deuxième barre de bois en
travers. Elle avait été installée à la hauteur de sa
taille. Elle fut forcée de se placer dessous. Ses bras
furent alignés le long de la barre et attachés par
les poignets, les coudes et les épaules. Ses jambe furent
alors tirées vers l'arrière, sous elle. Des bras musclés
les écartèrent le plus loin possible. Elle perçut que ses
chevilles étaient attachées aux pieux enfoncés dans
la terre. Quand ils eurent terminé, Elisabeth se
retrouva penchée vers l'avant, bras écartés dans la
position de l'aigle, avec les seins qui se balançaient.
Un petit groupe d'Indiens, hommes et femmes,
portant des petits paquets et deux cuvettes en bois,
s'approcha. Ils s'arrêtèrent devant Elisabeth. Un des
hommes exhiba une paire de solides et larges
brindilles. Un des femmes plongea dans une des
cuvettes et en retira une mince bande de cuir vert
et humide qu'elle remit à l'homme. Il relia adroitement
l'une des extrémités des brindilles ensemble. Puis
il attrapa un des mamelons d'Elisabeth et l'introduisit
entre elles. Il resserra les brindilles ensemble et

attacha les extrémités libres avec une autre bande
de cuir vert. Puis il appliqua le même traitement à l'
autre mamelon. Les femmes retirèrent ensuite de plus
longues et plus épaisses bandes de cuir vert de la
cuvette dans laquelle elles s'imbibaient, et elles
les remirent à deux autres hommes qui entreprirent de les
lier étroitement autour des seins d'Elisabeth. Ils
prirent quelques moments pour tester la solidité de leur
ouvrage avant de passer à l'entrejambes d'Elisabeth.
Elle sentit que des doigts calleux fourrageaient
dans ses parties secrètes. Puis elle sentit que des
brindilles rugueuses étaient placées et maintenues
étroitement ensemble pour emprisonner ses grandes
lèvres. Deux brindilles supplémentaires furent placées
à l'extérieur de ses lèvres. Alors l'assemblage entier
fut serré ensemble et attaché avec des bandes de cuir
vert. Il sembla à Elisabeth qu'elle sentait presque
immédiatement les brides de cuir brut se serrer
pendant que le cuir vert se desséchait et rétrécissait.
Mais le processus était trop lent pour ses
tourmenteurs. Ils accumulèrent de petites piles de
branchages sous ses seins et sa fourche. Ils
apportèrent ensuite du charbon de bois du foyer, le
placèrent sur les petits foyers et attisèrent la flamme.
Ils maintenaient des feux très réduits afin que
seulement l'air chaud et la fumée atteignent Elisabeth.
Mais ceci accélérait le processus de dessication et
pendant que le cuir vert séchait, les brides se
rétractaient toujours davantage, comprimant
inexorablement la plupart des organes sensibles. Et
comme la pression augmentait, la douleur croissait
également. Elle était régulière et constante. Il n'y avait
rien qu' Elisabeth puisse faire sauf grincer des dents
et essayer de la supporter.
Des heures plus tard, pendant que le soleil
s'estompait, le chef vint examiner le progrès de sa
torture. Il caressa la poitrine rouge foncé, soupesa les
crucifiee-010.JPG
seins durs et gorgés de sang et donna un ordre. Une
par une, les brides et les bandes furent retirées.
Les Indiens étaient diaboliquement cruels même en la
libérant de ses liens. Chacun était retiré à son tour,
puis ils attendaient avant de passer au prochain. Et
chaque fois qu'une courroie ou une bride était retirée,
Elizabeth sentait une nouvelle vague de douleur la
submerger pendant que l'écoulement du sang était
restauré.Ils la firent hurler pendant une heure.C'était comme si
des milliers de broches minuscules avaient été plantées dans sa chair. Ils
commencèrent par les courroies autour de ses seins,
puis les brides sur ses mamelons. Enfin ses lèvres
furent libérées. Elisabeth se tordait furieusement,hurlait sans fin,
dans un effort insensé pour échapper à ce qu'elle ressentait
être comme des milliers d'aiguilles enfoncées dans
ses lèvres. Quand elle eut enfin cessé de lutter,
Elisabeth fut finalement détachée sans ménagement
et reposée par terre. Il n'y avait aucune possibilité
qu'elle puisse seulement essayer de s'échapper ou de
résister. L'épreuve l'avait laissée vidée.
Tandis qu'Elisabeth restait étendue là,épuisée par ses supplices, ses
tortionnaires allèrent préparer la prochaine étape
de sa torture.
La barre inférieure, alors ajustée à sa taille,fut remontée.
Quand les guerriers trouvèrent la bonne
hauteur, celle-ci fut solidement remise en place à
nouveau. Quatre guerriers saisirent alors le corps inerte d'Elizabeth,
un par chaque bras ou jambe. Elle fut soulevée très haut,
puis placée à cheval sur le rondin. Ses poignets furent
placés au-dessus de la barre supérieure du portique et attachés
ensemble. Puis, pour la touche finale, la dernière
torture, ses chevilles furent placées derrière elle
le long de ce rondin et étroitement maintenues.
Ceci forçait Elisabeth à se pencher légèrement vers
l'avant, plaçant plus de son poids sur sa vulve et
son clitoris. Elle pouvait se soulever légèrement pour
soulager la pression mais ses bras ne pouvaient pas
soutenir son corps très longtemps et elle retombait sur ses parties intimes
martyrisées qui saignierent rapidement .

Elizabeth resta à cheval sur la barre
transversale qui la déchirait toute la nuit et jusqu'au
début de l'après-midi suivant. D'ici là, la moitié
inférieure entière de son corps s'était engourdie.Elle n'avait plus la force de se
soulever, son clitoris ,ses lèvres vaginales et son anus étaient écorchés à vif.
Elle devenait folle de douleur et souhaitait la mort rapidement.
Quand elle fut finalement enlevée de la barre et
remise sur ses pieds, elle s'effondra dans un semi
évanouissement. Il lui fut donné un bref sursis de
peut-être une demi-heure, puis elle fut forcée de se
tenir sur ses jambes flageolantes. Ses poignets furent
encore liés derrière elle tandis qu'elle était menée par
l'entrée du village vers le bord de la forêt. Ils
l'arrêtèrent juste avant qu'elle ait atteint la lisière de la
forêt. Deux jeunes arbres vigoureux, de six à huit
pouces de diamètre, se tenaient là à environ six pieds
l'un de l'autre. Toutes les branches inférieures avaient
été coupées. Deux solides poteaux avaient été posés
horizontalement entre eux, l'un à hauteur de poitrine,
l'autre à mi-cuisse. Elizabeth fut forcée de se tenir
entre les arbres, face aux poteaux. Ses bras et ses
jambes furent écartelés au maximum et attachés dans la
position de l'aigle. Dans cette position, ses seins
reposaient sur la barre transversale supérieure tandis
que la plus basse croisait ses cuisses entre ses
genoux et son sexe glabre. Ses cuisses furent
rapidement et étroitement ligotées à la barre. Puis
ses seins furent solidement attachés sur la barre
supérieure.
Les guerriers se tinrent en arrière et les femmes
s'avancèrent. Chacune portait une poignée d'épines.
Elles commencèrent d'enfoncer les épines dans les
fesses d’Élisabeth et les parties exposées de ses
seins. Elles semblaient particulièrement amusées par
le fait de piquer les épines dans la zone périphérique
de son anus. En conclusion, quand elles furent
satisfaites de leur travail, elle concentrèrent leurs
efforts sur le sexe d’Élisabeth. L'une après l'autre,
elles prirent leur tour pour enfoncer des épines dans

ses lèvres externes et dodues provoquant des tressaillements incontrôlables
du bas ventre d'Elizabeth, hurlant sa douleur, incapable d'échapper à ses tortionnaires.
Les femme s'écartèrent. Un petit feu avait été allumé près du
chemin un peu plus loin. Le vieil ennemi d'Elisabeth,
le guerrier dont l'épouse avait été massacrée, se
tenait à côté. Il choisit avec soin un brandon
enflammé et marcha vers Elisabeth. Avec un visage
parfaitement impassible, il le maintint juste au-
dessous de l'un de ses mamelons. Elisabeth poussa
un hurlement de terreur. Elle fit un effort désespéré
pour s'écarter loin de la flamme, mais les liens
maintenaient les parties menacées strictement
immobiles. Le guerrier déplaça la torche sous l'autre
mamelon. Il allait dans les deux sens, martyrisant
le premier, puis l'autre.Une odeur de chair brulée se répandit dans la forêt.
Quand il eut réduit les deux pointes fragiles à l'état de ruines carbonisées,
il s'en alla plus loin,parfaitement impassible, en jetant le brandon sur le feu.
Elizabeth avait finie de hurler,elle s'était évanouie de douleur.
Alors, un groupe de guerriers s'approcha. Deux
d'entre eux délièrent la barre transversale supérieure.
Lorsqu'elle fut libérée, ils la tirèrent le plus loin
possible d'Elisabeth, étirant par là même son ample
poitrine au seuil de la rupture. Deux autres guerriers
s'approchèrent, et chacun était porteur d'un long
coutelas rouillé. Alors que la foule s'était rapprochée
du cercle pour profiter du spectacle, les deux
guerriers entreprirent avec lenteur de scier doucement
les larges mamelles étirées d'Elisabeth. Les couteaux
étaient ébréchés. Ils prirent tout leur temps pour
séparer de son torse les bandes de chair tendre et
vulnérable. Pour Elisabeth, le supplice insupportable sembla durer
pendant des heures interminables, le sang coulait sur son ventre
pendant que la lame coupait la chair ses seins.
Quand la dernière bande de peau fut tranchée, la barre transversale,
avec ses deux trophées sanglants toujours en place,
fut portée haut et exhibée devant les yeux d'Elisabeth
torture-femmes.png
Rupert von Hentzau - Captive des Indiens
Page 35
qui vis une derniére fois ses seins si généreux pendre sanguinolant
avant d'être prise de nouveau et portée au village
pour être exposée.
Trois femmes, l'une d'elle étant la vieille squaw
qui avait fouetté Elisabeth si sévèrement,
s'approchèrent ensuite, car la prochaine étape de la
mutilation d'Elisabeth était leur domaine réservé.
Elles se mirent à genoux devant sa vulve exposée. Des
doigts saisirent avec précision une des petites lèvres
d'Elisabeth et l'étirèrent jusqu'à la déchirer. La
lame d'un couteau jeta un éclair. Elisabeth hurla encore.
Le morceau de chair ensanglanté fut brandi sous les
acclamations et les hululements des spectateurs. Puis
il fut jeté en pâture à un des nombreux chiens qui
s'étaient arrêté autour de la foule. L'autre lèvre
intérieure fut amputée, exhibée et jetée. La vieille
sorcière entreprit de pincer le misérable clitoris
d'Elisabeth entre le pouce et l'index, incrustant le bout
de ses ongles dans la chair tendre. Lentement, elle
commença de le scier avec son couteau, pour faire
durer l'opération et la rendre plus douloureuse. Une
fois encore Elisabeth cria longuement puis elle
s'évanouit, s'effondrant dans ses liens. Elle ne vit pas
ce qui était advenu de son minuscule organe.
Tandis qu'elle reprenait lentement ses esprits,
les Indiens retirèrent la barre transversale inférieure.
Ils commencèrent également à empiler des bâtons et
des branches entre les jambes d'Elisabeth jusqu'à ce
que la pile atteigne ses genoux.
Quand Elisabeth fut tout à consciente, le chef
donna un ordre. Deux guerriers se dirigèrent vers le
petit feu et choisirent des branches enflammées. Ils
s'approchèrent d'Elisabeth, tenant haut les pieux
flamboyant. Ils passèrent derrière elle. Ils appliquèrent
les torches sur la pile de bois entre ses jambes. Le
feu prit rapidement. Soudain, elle sentit des mains
écarter ses fesses. En réalisant ce qui allait se
produire, elle poussa un hurlement sauvage. Une des

torches flamboyantes fut poussée dans son anus.Un moment plus tard,
l'autre fut enfoncée dans son vagin. Les guerriers faisaient
attention à pousser les bâtons sans éteindre les flammes.
Avec la douleur abominable entre ses jambes des flammes qui léchaient ses
parties intimes ,elle ne se rendit pas compte que des mains saisissaient ses
cheveux, tirant sa tête en arrière et qu'un couteau découpait une incision,
déchirant profondément son cuir chevelu pour scalper sa longue chevelure
blonde.
La douleur était à son paroxisme, son corps n'était que souffrances infinis.
elle n'avait plus de seins ,plus de parties intimes et sans cheveux.
Elle était couverte de sang.
Elle espérait seulement que le feu qui léchait ses jambes, ses
fesses et sa vulve, augmenterait et la consumerait
rapidement pour mettre fin à son calvaire.
Mais les indiens étaient sadiques et ils voulaient que
la femme blanche meure lentement.Effectivement pendant des heures
Elizabeth hurla dans le camp,se tordit dans ses liens sans effet,le feu
lentement la dévorait,elle poussa des cris qui firent frissonner les indiens
tant ils étaient devenus inhumains.
Ses beaux yeux bleus étaient révulsés de souffrance, elle demanda de
nombreuses fois qu'on l'achéve pour arreter ses souffrances mais les femmes indiennes voulaient la laisser souffrir jusqu'à sa mort.
Son supplice dura toute l'aprés midi;elle mourut d'épuisement dans la soirée
sans cris n'ayant plus de voix pour crier sa douleur infini.
Le lendemain, après un sévère engagement avec les indiens hostiles,
une force combinée de militaires de carrière et de miliciens entra dans
le village abandonné.
Charles Kempton, un sergent de la milice,découvra  le superbe corps nu
torturé d'Elizabeth était encore attaché aux poteaux, écartelé sans vie.
Son visage trahissait encore l'horreur du supplice.
Elle était morte certainement dans un ultime long hurlement,ses yeux
étaient exhorbités et sa bouche grande ouverte quand il lui redressa sa tête
chauve tombée sur sa poitrine mutilée.
Ses cuisses étaient couvertes du sang de son sexe et le l'anus torturés.
Il frissonna en pensant à ce qu'avait pu etre ses supplices.
En fouillant les teepees un régulier lui  apporta le scalp de cheveux blonds
d'Elizabeth.
Par pamela - Publié dans : tortures
Ecrire un commentaire - Voir les 7 commentaires

Présentation

Créer un Blog

Recherche

Calendrier

Avril 2024
L M M J V S D
1 2 3 4 5 6 7
8 9 10 11 12 13 14
15 16 17 18 19 20 21
22 23 24 25 26 27 28
29 30          
<< < > >>
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus