Jeudi 12 septembre 4 12 /09 /Sep 19:18
Rupert von Hentzau - Captive des Indiens

Depuis sa capture il y a un an elle ne portait plus qu'un soutien gorge
dentelle noire mettant sa poitrine ferme bien en valeur avec un string dentelle
assorti dont la forme épousait et mettait en valeur ses fesses rebondies.
Elle portait aux pieds des escarpins noirs avec talons lui donnant une démarche
trés sexy dans le camp.Des chaines courtes avec des bracelets métalliques reliaient
ses chevilles pour éviter sa fuite. Des bracelets métalliques aux poignets permettaient
la nuit de lui maintenir les bras dans le dos.
Elisabeth marcha ce jour vers le ruisseau, lentement, comme si elle
descendait pour boire de l'eau. Elle s'agenouilla sur le
bord et se pencha pour se désaltérer.
Elle regarda autour d'elle avec précaution. Il n'y
avait personne en vue. Elle se redressa, fit un premier
pas dans l'eau, puis quelques autres jusqu'au milieu
du courant. A nouveau, elle se pencha pour prendre
une gorgée d'eau. A nouveau, elle regarda avec soin
autour d'elle. Il n'y avait toujours personne à l'horizon.
Elle marcha lentement dans l'eau jusqu'à l'autre rive
du ruisseau, s'arrêta sur le bord et se glissa derrière
le tronc d'un saule. Si n'importe qui était venu lui
demander ce qu'elle faisait, elle aurait fait comprendre
qu'elle se reposait. Elle attendit. Personne ne se
manifesta. Elle n'aperçut personne. Elle ne parvenait
pas à croire qu'il était si facile de s'échapper du
village. Elle se fraya silencieusement un chemin à
travers la végétation de ce côté du ruisseau, puis se
redressa et s'éloigna de la rive et du village. Elle ne
savait pas exactement de quel côté se diriger, mais
tout ce qui lui importait était de s'éloigner le plus
possible du village. Elle pouvait à peu près se
représenter la direction où se trouvait le campement
des colons pour y être à l'abri de ses
ravisseurs. Pendant une heure, elle traversa les bois,
en suivant les pistes des animaux, toujours à l'affût
pour voir si elle ne revenait pas accidentellement
vers le village. Soudain, une silhouette se dessina derrière
un grand chêne juste sur sa route. C'était celle d'un
des chasseurs du village. Elle se retourna pour

s'enfuir, et en trouva un autre derrière elle. Elle
se tourna sur sa gauche. Un autre chasseur émergeait
des buissons. De quelque côté qu'elle se tourne,
l'issue était bloquée par un Indien. Ils se
rassemblèrent comme un troupeau, la renfermant à
l'intérieur comme pour traquer un animal effrayé. Elle
chargea comme un taureau pour passer au milieu de
deux d'entre eux avant d'être saisie et rejetée dans
les bras d'un troisième. Ils la dénudèrent, arrachant
au loin son soutien gorge et le slip étroit.
Puis ils attachèrent ses poignets devant elle avec
une corde en cuir. Un des guerriers, une brute
particulièrement grande et forte, se chargea de la
corde. Ils s'en revinrent par la forêt, les autres
chasseurs marchant devant eux.
D'abord, ils semblèrent errer sans but. Mais l'un
des chasseurs finit par trouver ce qu'ils recherchaient.
Il interpella les autres et le groupe tout entier
convergea dans la direction d'où venait sa voix.
Il se tenait à côté de sa trouvaille, un arbre avec une
fourche fendue d'environ dix pieds au dessus du sol.
L'extrémité libre de la corde d'Elisabeth fut jetée
par dessus la fourche. Quatre des chasseurs s'en
emparèrent et tirèrent fortement, décollant les pieds
d'Elisabeth. Elle fut plaquée contre le tronc, puis
étirée vers le haut tout contre l'écorce rugueuse
jusqu'à ce qu'elle se retrouve à vingt centimétres du sol.
Ses chevilles furent saisies et attachées au tronc.
La corde de ses poignets subit quelques fortes tractions
supplémentaires avant d'être nouée, pour s'assurer qu'elle
était bien fermement étirée contre le tronc de l'arbre.
Tandis qu'Elisabeth était ainsi préparée, plusieurs Indiens s'en étaient
allés. Ils s'en revinrent avec des branches
soigneusement choisies, qu'ils repassèrent à leurs
camarades.

Le groupe entier prit alors son tour pour fouetter
Elisabeth, travaillant son dos, ses fesses et ses
cuisses. Ils ne s'arrêtèrent pas avant qu'elle n'ait été
couverte d'un réseau de stries. Alors, la corde fut
libérée et elle tomba comme un paquet au pied de
l'arbre. Ils la remirent sur ses pieds. Ses poignets
furent croisés derrière elle en arrière et attachés. Une
branche de cinq centimétres d'épaisseur et vingt centimétres de
long fut alors sanglée à ses poignets. Ensuite, une
mince corde faite d'un tendon fut étroitement nouée
autour des mamelons d'Elisabeth en les reliant. La
branche des poignets fut fixée entre ses jambes, dévoilant la fente
de ses lèvres inférieures et forcant Elizabeth à s'étirer vers l'arriére.
Une corde fut attachée avec une boucle passée au-dessus du
tendon qui reliait ses mamelons. Puis elle fut
rapportée vers le bas et attachée au bâton. L'Indien
chargé d'attacher la corde lui donna plusieurs bonnes
secousses pour s'assurer qu'elle était bien serrée.
Ainsi, les épaules d'Elisabeth étaient tirées en arrière
tandis que ses mamelons étaient allongés en bas, et
que la branche creusait dans ses parties intimes. Il n'y
avait aucune solution qui lui permette de soulager
la pression sur une zone sans l'augmenter quelque part
autrement.
Pour finir, une corde en cuir fut attachée autour
de son cou. Les Indiens se préparèrent à partir.
Elisabeth fut brutalement remise sur ses pieds, mais
parvint à regagner son équilibre. C'était un vrai
chemin de croix, avec l'écorce rugueuse de la
branche qui échauffait ses lèvres charnues à chaque
pas. Mais deux des chasseurs, à petits coups de
bâtons, avaient pris position derrière elle pour
s'assurer qu'elle continuait de marcher. Ils atteignirent
le village en quinze minutes. Elisabeth était
consternée de voir le peu de distance qu'elle avait
couvert dans sa tentative d'évasion. Trébuchant sur
ses derniers pas au centre du village, elle s'effondra

aux pieds du chef. Celui-ci donna un ordre brusque.
Ses liens furent retirés. Puis elle fut redressée par
deux guerriers qui restèrent à côté d'elle pour la
soutenir. Le chef la contempla longuement. Puis il se
lança dans un long discours incompréhensible et
violent. Il était visiblement très en colère. Elisabeth
regarda à la dérobée pour tenter d'apercevoir Becky
mais elle était nulle part.
Après avoir fini de la terroriser, le chef dit à
l'évidence " emmenez là " en faisant signe avec son
bras. Les deux guerriers traînèrent à moitié Elisabeth
une nouvelle fois jusqu'au poteau, où elle fut
solidement liée nue pour la nuit.Un indien lui donna  boire et du riz.
Tôt dans l'après-midi suivant, Elisabeth sans force fut retirée du poteau,
déliée et traînée jusqu'au rectangle de bois pour de nouvelles
tortures. Celui-ci avait été modifié légèrement. Il y
avait maintenant une deuxième barre de bois en
travers. Elle avait été installée à la hauteur de sa
taille. Elle fut forcée de se placer dessous. Ses bras
furent alignés le long de la barre et attachés par
les poignets, les coudes et les épaules. Ses jambe furent
alors tirées vers l'arrière, sous elle. Des bras musclés
les écartèrent le plus loin possible. Elle perçut que ses
chevilles étaient attachées aux pieux enfoncés dans
la terre. Quand ils eurent terminé, Elisabeth se
retrouva penchée vers l'avant, bras écartés dans la
position de l'aigle, avec les seins qui se balançaient.
Un petit groupe d'Indiens, hommes et femmes,
portant des petits paquets et deux cuvettes en bois,
s'approcha. Ils s'arrêtèrent devant Elisabeth. Un des
hommes exhiba une paire de solides et larges
brindilles. Un des femmes plongea dans une des
cuvettes et en retira une mince bande de cuir vert
et humide qu'elle remit à l'homme. Il relia adroitement
l'une des extrémités des brindilles ensemble. Puis
il attrapa un des mamelons d'Elisabeth et l'introduisit
entre elles. Il resserra les brindilles ensemble et

attacha les extrémités libres avec une autre bande
de cuir vert. Puis il appliqua le même traitement à l'
autre mamelon. Les femmes retirèrent ensuite de plus
longues et plus épaisses bandes de cuir vert de la
cuvette dans laquelle elles s'imbibaient, et elles
les remirent à deux autres hommes qui entreprirent de les
lier étroitement autour des seins d'Elisabeth. Ils
prirent quelques moments pour tester la solidité de leur
ouvrage avant de passer à l'entrejambes d'Elisabeth.
Elle sentit que des doigts calleux fourrageaient
dans ses parties secrètes. Puis elle sentit que des
brindilles rugueuses étaient placées et maintenues
étroitement ensemble pour emprisonner ses grandes
lèvres. Deux brindilles supplémentaires furent placées
à l'extérieur de ses lèvres. Alors l'assemblage entier
fut serré ensemble et attaché avec des bandes de cuir
vert. Il sembla à Elisabeth qu'elle sentait presque
immédiatement les brides de cuir brut se serrer
pendant que le cuir vert se desséchait et rétrécissait.
Mais le processus était trop lent pour ses
tourmenteurs. Ils accumulèrent de petites piles de
branchages sous ses seins et sa fourche. Ils
apportèrent ensuite du charbon de bois du foyer, le
placèrent sur les petits foyers et attisèrent la flamme.
Ils maintenaient des feux très réduits afin que
seulement l'air chaud et la fumée atteignent Elisabeth.
Mais ceci accélérait le processus de dessication et
pendant que le cuir vert séchait, les brides se
rétractaient toujours davantage, comprimant
inexorablement la plupart des organes sensibles. Et
comme la pression augmentait, la douleur croissait
également. Elle était régulière et constante. Il n'y avait
rien qu' Elisabeth puisse faire sauf grincer des dents
et essayer de la supporter.
Des heures plus tard, pendant que le soleil
s'estompait, le chef vint examiner le progrès de sa
torture. Il caressa la poitrine rouge foncé, soupesa les
crucifiee-010.JPG
seins durs et gorgés de sang et donna un ordre. Une
par une, les brides et les bandes furent retirées.
Les Indiens étaient diaboliquement cruels même en la
libérant de ses liens. Chacun était retiré à son tour,
puis ils attendaient avant de passer au prochain. Et
chaque fois qu'une courroie ou une bride était retirée,
Elizabeth sentait une nouvelle vague de douleur la
submerger pendant que l'écoulement du sang était
restauré.Ils la firent hurler pendant une heure.C'était comme si
des milliers de broches minuscules avaient été plantées dans sa chair. Ils
commencèrent par les courroies autour de ses seins,
puis les brides sur ses mamelons. Enfin ses lèvres
furent libérées. Elisabeth se tordait furieusement,hurlait sans fin,
dans un effort insensé pour échapper à ce qu'elle ressentait
être comme des milliers d'aiguilles enfoncées dans
ses lèvres. Quand elle eut enfin cessé de lutter,
Elisabeth fut finalement détachée sans ménagement
et reposée par terre. Il n'y avait aucune possibilité
qu'elle puisse seulement essayer de s'échapper ou de
résister. L'épreuve l'avait laissée vidée.
Tandis qu'Elisabeth restait étendue là,épuisée par ses supplices, ses
tortionnaires allèrent préparer la prochaine étape
de sa torture.
La barre inférieure, alors ajustée à sa taille,fut remontée.
Quand les guerriers trouvèrent la bonne
hauteur, celle-ci fut solidement remise en place à
nouveau. Quatre guerriers saisirent alors le corps inerte d'Elizabeth,
un par chaque bras ou jambe. Elle fut soulevée très haut,
puis placée à cheval sur le rondin. Ses poignets furent
placés au-dessus de la barre supérieure du portique et attachés
ensemble. Puis, pour la touche finale, la dernière
torture, ses chevilles furent placées derrière elle
le long de ce rondin et étroitement maintenues.
Ceci forçait Elisabeth à se pencher légèrement vers
l'avant, plaçant plus de son poids sur sa vulve et
son clitoris. Elle pouvait se soulever légèrement pour
soulager la pression mais ses bras ne pouvaient pas
soutenir son corps très longtemps et elle retombait sur ses parties intimes
martyrisées qui saignierent rapidement .

Elizabeth resta à cheval sur la barre
transversale qui la déchirait toute la nuit et jusqu'au
début de l'après-midi suivant. D'ici là, la moitié
inférieure entière de son corps s'était engourdie.Elle n'avait plus la force de se
soulever, son clitoris ,ses lèvres vaginales et son anus étaient écorchés à vif.
Elle devenait folle de douleur et souhaitait la mort rapidement.
Quand elle fut finalement enlevée de la barre et
remise sur ses pieds, elle s'effondra dans un semi
évanouissement. Il lui fut donné un bref sursis de
peut-être une demi-heure, puis elle fut forcée de se
tenir sur ses jambes flageolantes. Ses poignets furent
encore liés derrière elle tandis qu'elle était menée par
l'entrée du village vers le bord de la forêt. Ils
l'arrêtèrent juste avant qu'elle ait atteint la lisière de la
forêt. Deux jeunes arbres vigoureux, de six à huit
pouces de diamètre, se tenaient là à environ six pieds
l'un de l'autre. Toutes les branches inférieures avaient
été coupées. Deux solides poteaux avaient été posés
horizontalement entre eux, l'un à hauteur de poitrine,
l'autre à mi-cuisse. Elizabeth fut forcée de se tenir
entre les arbres, face aux poteaux. Ses bras et ses
jambes furent écartelés au maximum et attachés dans la
position de l'aigle. Dans cette position, ses seins
reposaient sur la barre transversale supérieure tandis
que la plus basse croisait ses cuisses entre ses
genoux et son sexe glabre. Ses cuisses furent
rapidement et étroitement ligotées à la barre. Puis
ses seins furent solidement attachés sur la barre
supérieure.
Les guerriers se tinrent en arrière et les femmes
s'avancèrent. Chacune portait une poignée d'épines.
Elles commencèrent d'enfoncer les épines dans les
fesses d’Élisabeth et les parties exposées de ses
seins. Elles semblaient particulièrement amusées par
le fait de piquer les épines dans la zone périphérique
de son anus. En conclusion, quand elles furent
satisfaites de leur travail, elle concentrèrent leurs
efforts sur le sexe d’Élisabeth. L'une après l'autre,
elles prirent leur tour pour enfoncer des épines dans

ses lèvres externes et dodues provoquant des tressaillements incontrôlables
du bas ventre d'Elizabeth, hurlant sa douleur, incapable d'échapper à ses tortionnaires.
Les femme s'écartèrent. Un petit feu avait été allumé près du
chemin un peu plus loin. Le vieil ennemi d'Elisabeth,
le guerrier dont l'épouse avait été massacrée, se
tenait à côté. Il choisit avec soin un brandon
enflammé et marcha vers Elisabeth. Avec un visage
parfaitement impassible, il le maintint juste au-
dessous de l'un de ses mamelons. Elisabeth poussa
un hurlement de terreur. Elle fit un effort désespéré
pour s'écarter loin de la flamme, mais les liens
maintenaient les parties menacées strictement
immobiles. Le guerrier déplaça la torche sous l'autre
mamelon. Il allait dans les deux sens, martyrisant
le premier, puis l'autre.Une odeur de chair brulée se répandit dans la forêt.
Quand il eut réduit les deux pointes fragiles à l'état de ruines carbonisées,
il s'en alla plus loin,parfaitement impassible, en jetant le brandon sur le feu.
Elizabeth avait finie de hurler,elle s'était évanouie de douleur.
Alors, un groupe de guerriers s'approcha. Deux
d'entre eux délièrent la barre transversale supérieure.
Lorsqu'elle fut libérée, ils la tirèrent le plus loin
possible d'Elisabeth, étirant par là même son ample
poitrine au seuil de la rupture. Deux autres guerriers
s'approchèrent, et chacun était porteur d'un long
coutelas rouillé. Alors que la foule s'était rapprochée
du cercle pour profiter du spectacle, les deux
guerriers entreprirent avec lenteur de scier doucement
les larges mamelles étirées d'Elisabeth. Les couteaux
étaient ébréchés. Ils prirent tout leur temps pour
séparer de son torse les bandes de chair tendre et
vulnérable. Pour Elisabeth, le supplice insupportable sembla durer
pendant des heures interminables, le sang coulait sur son ventre
pendant que la lame coupait la chair ses seins.
Quand la dernière bande de peau fut tranchée, la barre transversale,
avec ses deux trophées sanglants toujours en place,
fut portée haut et exhibée devant les yeux d'Elisabeth
torture-femmes.png
Rupert von Hentzau - Captive des Indiens
Page 35
qui vis une derniére fois ses seins si généreux pendre sanguinolant
avant d'être prise de nouveau et portée au village
pour être exposée.
Trois femmes, l'une d'elle étant la vieille squaw
qui avait fouetté Elisabeth si sévèrement,
s'approchèrent ensuite, car la prochaine étape de la
mutilation d'Elisabeth était leur domaine réservé.
Elles se mirent à genoux devant sa vulve exposée. Des
doigts saisirent avec précision une des petites lèvres
d'Elisabeth et l'étirèrent jusqu'à la déchirer. La
lame d'un couteau jeta un éclair. Elisabeth hurla encore.
Le morceau de chair ensanglanté fut brandi sous les
acclamations et les hululements des spectateurs. Puis
il fut jeté en pâture à un des nombreux chiens qui
s'étaient arrêté autour de la foule. L'autre lèvre
intérieure fut amputée, exhibée et jetée. La vieille
sorcière entreprit de pincer le misérable clitoris
d'Elisabeth entre le pouce et l'index, incrustant le bout
de ses ongles dans la chair tendre. Lentement, elle
commença de le scier avec son couteau, pour faire
durer l'opération et la rendre plus douloureuse. Une
fois encore Elisabeth cria longuement puis elle
s'évanouit, s'effondrant dans ses liens. Elle ne vit pas
ce qui était advenu de son minuscule organe.
Tandis qu'elle reprenait lentement ses esprits,
les Indiens retirèrent la barre transversale inférieure.
Ils commencèrent également à empiler des bâtons et
des branches entre les jambes d'Elisabeth jusqu'à ce
que la pile atteigne ses genoux.
Quand Elisabeth fut tout à consciente, le chef
donna un ordre. Deux guerriers se dirigèrent vers le
petit feu et choisirent des branches enflammées. Ils
s'approchèrent d'Elisabeth, tenant haut les pieux
flamboyant. Ils passèrent derrière elle. Ils appliquèrent
les torches sur la pile de bois entre ses jambes. Le
feu prit rapidement. Soudain, elle sentit des mains
écarter ses fesses. En réalisant ce qui allait se
produire, elle poussa un hurlement sauvage. Une des

torches flamboyantes fut poussée dans son anus.Un moment plus tard,
l'autre fut enfoncée dans son vagin. Les guerriers faisaient
attention à pousser les bâtons sans éteindre les flammes.
Avec la douleur abominable entre ses jambes des flammes qui léchaient ses
parties intimes ,elle ne se rendit pas compte que des mains saisissaient ses
cheveux, tirant sa tête en arrière et qu'un couteau découpait une incision,
déchirant profondément son cuir chevelu pour scalper sa longue chevelure
blonde.
La douleur était à son paroxisme, son corps n'était que souffrances infinis.
elle n'avait plus de seins ,plus de parties intimes et sans cheveux.
Elle était couverte de sang.
Elle espérait seulement que le feu qui léchait ses jambes, ses
fesses et sa vulve, augmenterait et la consumerait
rapidement pour mettre fin à son calvaire.
Mais les indiens étaient sadiques et ils voulaient que
la femme blanche meure lentement.Effectivement pendant des heures
Elizabeth hurla dans le camp,se tordit dans ses liens sans effet,le feu
lentement la dévorait,elle poussa des cris qui firent frissonner les indiens
tant ils étaient devenus inhumains.
Ses beaux yeux bleus étaient révulsés de souffrance, elle demanda de
nombreuses fois qu'on l'achéve pour arreter ses souffrances mais les femmes indiennes voulaient la laisser souffrir jusqu'à sa mort.
Son supplice dura toute l'aprés midi;elle mourut d'épuisement dans la soirée
sans cris n'ayant plus de voix pour crier sa douleur infini.
Le lendemain, après un sévère engagement avec les indiens hostiles,
une force combinée de militaires de carrière et de miliciens entra dans
le village abandonné.
Charles Kempton, un sergent de la milice,découvra  le superbe corps nu
torturé d'Elizabeth était encore attaché aux poteaux, écartelé sans vie.
Son visage trahissait encore l'horreur du supplice.
Elle était morte certainement dans un ultime long hurlement,ses yeux
étaient exhorbités et sa bouche grande ouverte quand il lui redressa sa tête
chauve tombée sur sa poitrine mutilée.
Ses cuisses étaient couvertes du sang de son sexe et le l'anus torturés.
Il frissonna en pensant à ce qu'avait pu etre ses supplices.
En fouillant les teepees un régulier lui  apporta le scalp de cheveux blonds
d'Elizabeth.
Par pamela - Publié dans : tortures
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Commentaires

En mode barbecue pour celles qui ont chaud au cul
commentaire n° :1 posté par : Titusse le: 11/10/2022 à 11h55
La dernière photo est un très beau spectacle réservé aux femelles adultères, elle va donner des coups de reins pour échapper aux flammes, simulant une saillie, les lèvres et le clitoris finiront par rotir en dégageant une odeur de truie grillée, pour les mamelles on utilisera un chalumeau avant de la finir par une longue séance de baton sur tout le corps
commentaire n° :2 posté par : Mikaz le: 06/01/2023 à 16h01
Avant de la placer sur le braséro, on arrache les tétons, les lèvres du sexe, le clitoris à la pince, puis en fistant, on tire les ovaires pour qu'ils pendent entre les pattes, danse du cul assuré pour échapper aux flammes
commentaire n° :3 posté par : Pivert le: 26/01/2024 à 11h37

cela doit être horrible pôur la suppliciée...

réponse de : pamela le: 04/02/2024 à 18h02
Il n'y a pas de limites pour faire jouir une femelle
commentaire n° :4 posté par : Lacor le: 26/01/2024 à 11h40

c'est vrai elles se tordent bien dans les liens

réponse de : pamela le: 04/02/2024 à 18h01
Dans certains pays la femme adultère est exposée dans une salle devant la famille, dénudée , attachée couchée, les jambes relevées et écartées pour dévoiler ses orifices. On commence par tirer ses lèvres vaginales et on décalotte le clitoris pour le masturber entre deux doigts, la femme donne des coups de ventre , gémit jusqu'à jouissance. Ensuite on passe un chiffon dans le sexe pour l'imprégner de ses sécrétions qui sont présentés au public pour prouver qu'elle est coupable. La famille donne son acceptation pour qu'elle soit punie. La famille se retire pendant que deux punisseurs entre fouet à la main. Ils seront charger de la travailler sur et dans le corps sans modération en faisant durer le plaisir, les seins, le vagin et l'anus étant particulièrement longuement travaillés à la main et aux instruments pour la rendre indésirable à tous les males
commentaire n° :5 posté par : Claudio le: 08/03/2024 à 14h38

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