Jeudi 2 juin 2016 4 02 /06 /Juin /2016 16:43

La crucifixion moderne de femmes

D'abord, il y a la flagellation.

 

        Le poteau de flagellation, haut de 160 cm, est au milieu de la salle . Des chaises sont en périhérie pour les spectateurs qui choisissaent la vue de la suppliciée. Des anneaux de fer,l'un placé à l'avant d'où pend une chaine avec un crochet anal terminé par une boule de 3 cm de diametre et l'autre à l'arriére d'où pend deux chaines terminées par destorturée pal 034 bracelets métalliques larges en inox sécurisés par des vis inviolables équipe ce poteau complété par une barre en inox de gros diamétre traversante à 0.80cm du sol. Des anneaux sont scellés au sol à l'avant écartés de 2.00m environ.

L'ensemble est engoissant à voir pour les suppliciées car elle pouvait s'imaginer  ainsi attachée sans défenses, présentée au fouet.

 

       Aujourd'hui le spectacle sera de choix dans la salle de torture du chateau car trois femmes sont livrées au bourreau par leurs maitres. Une mére et sa fille ainsi qu'une jeune étudiante.

         Le tribunal les a condamnées il y a 3 mois à la crucifiction lente pour la mére et sa fille, 2 superbes femmes, et à la crucifiction normale pour la jeune l'étudiante

            A la lecture des sanctions les 3 femmes ont hurlé de terreur en suppliant leurs maitres de les épargner.Mais en vain ,leurs maitres restérent inflexibles.Elles étaient sadomachosistes mais ne pensaient pas arriver à ce stade de cruauté sadique. Elles savaient qu'elles allaient mourir sans secours car personne ne connaissaient leur présence dans ce chateau maudit. 

          Dans l'attente de leurs supplices,à une date qu'elles ne connaissaient pas pour faire croitre leur angoisse, elles durent s'occuper pendant des mois des invités du chateau en tenue sexy ce qui avait l'avantage d'exciter encore plus aujourd'hui les hommes présents qui avaient eu pour amante ces femmes condamnées à mort.

Le soir elles étaient de nouveau solidement enchainées dans leurs cellules.Les gardes ne se sont pas privés de profiter de ces belles femmes auxquelles ils imposaient des tenues de l'érotique à la femme bcbg.

               Aujourd'hui était fixé le jour de leurs supplices.

Pour agrémenter le spectacle les femmes avaient été réveillées de bonne heure pour etre préparées pour une sortie présumée avec les invités..Bien coiffée et maquillée elles avaient mis robes moulantes courtes , mini jupes et hauts décolletés. L'ensemble était complété de bas, string, soutien gorges push up et escarpins hauts talons avec des porte jarretelles et un corset trés serré pour la mére qui lui mettait les forme en valeur.

Elles furent surprises ainsi habillées de voir qu'on leur mettait des chaines aux pieds et aux mains ramenées dans le dos. Elles comprirent que c'était le jour de leurs supplices.Les deux jeunes femmes s'effondrérent en larmes en hurlant de terreur ne voulant pas mourir.

Les gardes comprirent que le spectacle offert aux invités serait pour les prochains jours de qualité.

            Un collier fut fixé au cou de chaque femme , une chaine mise dans l'anneau et les gardes tirerent les femmes dans les couloirs et les escaliers qui menaient à la salle des supplices pour la flagellation .

Quant à la crucifiction elle était prévue en plein air dans la cour du chateau plus tard

Les gardes amenerent en trainant les 3 femmes vers leurs supplices et les pousserent dans la salle déja remplie de spectateurs. certains maitres avaient à leurs pieds des soumises entravées qui allaient assister au spectacle et peut etre un jour aussi etre suppliciée.

La jeune étudiante était dirigée vers le poteau pour etre flagellée.Elle se débattit vigoureusement mais la jupe et le teeshirt furent enlevés rapidement pour etre en lingerie. Courbée en avant on la força à passer ses bras au dessus de la barre horizontale d'un petit portique, les bras furent ramenés à la verticale vers le bas et les poignets pris dans les menottes.Cela a eu pour effet de courber le corps de la malheureuse et de présenter sa croupe .On lui laissa les hauts talons et ses bas et les jambes furent écartées et les chaines furent fixées aux chevilles et reliées à la base des poteux du portique. Déja la pauvre ne pouvait plus se défendre .Pour completer et éviter qu'elle baisse son bassin le crochet annal lui fut enfoncé dans l'anus.Elle cria au passage de la boule qui lui écarta violamment l'anus qui ensuite avala l'objet dans un bruit de succion. La chaine du crochet fut tendue et attahée à un crochet du plafond.Les femmes dans cette position ne pouvaient plus bouger et enduraient leur supplices à la limite de leurs forces.Certains maitres souhaitaient que leurs soumises meurent dans les souffrances horribles de la flagellation, le corps et le sexe déchiquetés. 

Le spectacle du supplice de la crucifiction était prévu les jours prochains.Chaque femme devait mourir avant que la suivante prenne sa place. Exceptionnellement la mére assistera à la crucifiction de sa fille en hogtied sur une table.

Pour la journée de préparation la mére et la fille dans l'attente de leur flagellation seront attachées pour etre violées.La mére aux seins lourds et laiteux est mise en lingerie adossée à guenoux à un petit portique en forme de U renversé fait en poutres solides.La tête est prise dans un large collier métallique et se trouve au niveau du sexe des hommes .Les mains sont écartées latéralement et prises dans des bracelets métalliques.L'ensemble est d'une grande rigidité.Pour garantir la soumission de la mére les chevilles sont écartées et fixées au sol.La pauvre offre son sexe ouvert et sa bouche aux hommes.

La fille a un supplice plus raffiné. Elle est pendue par les jambes écartées, les mains liées dans le dos et fixées à la taille.Elle ne porte plus son soutien gorge et son string . Elle est relevée dans cette position pour permettre aux hommes de sucer son sexe et elle de sucer les membres .La mére et la fille sont en vis à vis et se voit ainsi dégradée sexuellement.Elles gémissent toutes les deux de la position douloureuse de cette immobilisation mais qui n'est rien par rapport à ce qu'elles vont subir dans les heures et jours qui viennent. Beaucoup de femmes sur la fin demandent qu'on les achéve pour arreter les souffrances qui deviennent insupportable sur la croix.   

 

 

 

La femme tremblante se deshabillait en pleurs suppliant de l'épargner.Les vêtements de la femme étaient arrachés du corps de la prisonnière, afin que celle-ci soit nue. Les licteurs romains étaient des professionnels. Ils limitaient leur travail à une flagellation subtile et brutale et ils pouvaient battre leur victime jusqu'à ce qu'il ne lui restât qu'une petite étincelle de vie.

 

Les poignets étaient fortement ligotés à l'anneau de fer. Ensuite, la victime était mise dans une posture tendue, le visage dirigé vers le sol, les pieds écartés tirés loin du poteau et fixés à des anneaux au sol.

Le fouet romain était tristement célèbre. C'était un fouet court composé de plusieurs minces chaînes en fer ayant à leur bout des petits poids.

On appelait la flagellation la "petite mort". Elle précédait la "grande mort" : la crucifixion.

 

Même la tension pendant l'attente du premier coup était cruelle. Tout le corps était raide. Les muscles se contractaient dans des crampes pleines de tourments. La couleur disparaissait des joues. Les lèvres étaient étroitement serrées contre les dents.

 

Quand le fouet tombait, les chaînes se déployaient sur tout le long du dos, chaque partie de la chaîne déchirait la peau et pénétrait profondément dans la chair. Les poids s´enfonçaient avec une force fracassante entre les côtes et s´enroulaient autour des seins en causant une véritable torture.

Sous l´effet de la flagellation, la douleur était inexprimable. La sueur perlait des sourcils et piquait les yeux. A chaque coup de fouet, le corps de la femme se tordait. Le second coup de fouet balayait le dos et la moitié de la poitrine d´une marque en forme de "V" constituée de petites entailles dans la peau.

Chaque coup de fouet arrachait un morceau de vie. Il ne restait que la douleur brûlante et aveuglante, lorsque le fouet cruel sifflait dans l'air encore et encore, balayant le dos et les épaules. Le fouet romain pouvait écorcher vif une femme. Les hurlements étaient horribles

 

La loi des Hébreux limitait le nombre de coups de fouet à 39. Chez les Romains, cette limite n'existait pas. Pour le licteur qui fouettait la femme avant la crucifixion, il n´y avait qu´une seule règle : la femme ne devait pas mourir. Une étincelle de vie devait toujours être conservée pour l'agonie sur la croix.

Des femmes se sont coupées la langue en deux en se mordant sous de tels coups.

Seul l'évanouissement béni pouvait soulager.

 

Mais le bourreau savait doser les souffrances et pour les belles femmes la flagellation était moins sévère pour offrir un corps crucifié peu marqué par ce fouet impitoyable. En contrepartie la mort sur la croix était très longue, une  semaine d’agonie pour offrir au public le corps nu d'une femme se tordant sur la croix. 

 

Le corps sans force de la femme pendant par les poignets était détaché du poteau. Les blessures étaient lavées avec de l'eau salée mais évidemment pas médicalement soignées.Cela avait pour effet de réveiller la femme évanouie.

 

Ensuite aprés un certain temps c'était la procession vers le lieu d'exécution vêtue d’une robe courte légère qui se tachait du sang des blessures du fouet..

 

Les hommes politiques de Rome aimaient toujours que les condamnées servent d'exemple. Le long chemin, parcouru lentement dans les rues animées, devait constituer un avertissement pour les autres, puisque Rome agissait toujours vite et sans pitié.

Habituellement, un centurion servait d'exécuteur ou carnifex servorum.

 

La robe de la prisonnière était enlevée sur le lieu d'execution pour être à nouveau présentée nue au public. Souvent déjà épuisée par les tortures infligés par la flagellation les soldats la soutenaient debout en lui ramenant les bras dans le dos pour présenter son corps. Le bourreau savait épargner les belles femmes pour qu’elles montrent leurs seins fermes, leurs ventres plats et leurs sexes épilés. Le public allait avoir le loisir, pour certaines durant la semaine, de les voir se tordre dans de grandes souffrances.

Ensuite quatre soldats l’étendaient au sol sur la croix en bois. Ils tenaient la prisonnière par les mains et les pieds car la douleur donnait des forces importantes aux crucifiées qui refusaient leur supplice. Mais le bourreau mettait rapidement le clou en fer de 12 cm de long à pointe fine au milieu de chaque poignet. Un coup adroit et expérimenté le fixait au bois. Quatre ou cinq autres coups enfonçaient le clou profondément dans la poutre brute, et, d´un autre coup, le clou était cintré vers le haut afin que la main ne puisse pas être déchirée et le corps rester en place pendant toute l’agonie sur la poutre malgré la tension du poids de la crucifiée.

La femme poussait des hurlements atroces. Son corps se cabrait avec la douleur. Elle se débattait en regardant horrifiée son bourreau pendant que les derniers coups de marteau achevaient d’enfoncer les clous dans ses poignets et la fixaient de façon inexorable sur son instrument de supplice

Sous le bassin était fixé un petit rebord qui ressemblait à la corne d'un rhinocéros terminée en forme de gode, et qui était connu sous le nom de "sédile". Ce rebord devait soulager les mains du poids de la condamnée. Mais s’enfonçant dans son vagin il provoquait aussi des excitations sexuelles involontaires malgré les douleurs. Le bourreau savait bien l’ajuster pour que la condamnée aille et vienne sur ce gode infernal sans s’en échapper. Le public aimait entendre les bruits de succion dans les parties intimes de la femme provoqués par ses mouvements pour échapper aux douleurs dans ses membres. Régulièrement la prisonnière poussait les cris rauques d’un orgasme qu’elle ne maitrisait pas avant de s’affaisser haletante en convulsions, les yeux révulsés, la bouche grande ouverte empalée sur ce gode diabolique qui la maintenait en vie durant une semaine de façon atroce. Les femmes demandaient d’être achevées plutôt que de souffrir et d’offrir leur jouissance mais le public aimait cela. Le bourreau donnait à boire régulièrement aux belles femmes pour que le public assiste pendant la semaine aux convulsions de la condamnée qui offrait de façon impudique ses parties intimes et sa poitrine gonflée par la douleur .

Ensuite, un clou était enfoncé dans chaque pied pour achever la crucifixion. La femme hurlait déjà sur sa croix au sol mais ses souffrances ne faisaient que commencer pour devenir insupportables dans le temps sans espoir d’en échapper si ce n’est que dans une  mort rapide.

Un  moment très douloureux lorsque la croix était redressée avec la prisonnière et tombait sèchement dans le trou. En général les blessures aux mains envoyaient des douleurs comme du feu dans les bras lorsque le corps se reposait enfin entièrement sur les clous des poignets. Les femmes hurlaient cabrées de longues minutes lorsqu’elles se retrouvaient dans cette position, certaines surtout les jeunes filles n’y résistaient pas et perdaient déjà connaissance.

L'évanouissement apportait un soulagement temporaire aux femmes dans cette longue marche vers la mort.

L'obscurité alternait avec la douleur et la douleur avec l'obscurité.

La douleur au dos, dans les bras, les mains, les pieds et au bassin était sourde, lancinante, horrible et sans fin. La douleur augmentait, se multipliait et s'accumulait. Il n'y avait aucun moment de repos.

La croix était positionnée de façon à ce que le soleil brille en plein dans les yeux de la prisonnière et dévoile son corps nu, ses seins et son sexe souvent rasé pour mieux voir les lèvres vaginales qui allaient s’humidifier et goutter pendant tout le supplice avec l’effet du gode qui provoquait des orgasmes à répétition.

En bas, les curieux attendaient, fascinés par la torture de la femme qui se dressait sur ses pieds cloués pour retomber empalée sur son gode hurlante de douleurs. Le spectacle macabre se déroulait lentement suivant la force des femmes souvent très résistantes. Certaines agonisaient ainsi environ 8 jours pour celles que le bourreau avait épargnées au fouet.

Puis, la soif commençait.

Les lèvres étaient sèches. La bouche était desséchée. Le sang était brûlant. La peau était fiévreuse. A ce moment-là, rien n'était plus nécessaire qu'une goutte d'eau froide.

L'eau était refusée.

Les soldats et le public buvaient sous les yeux de la crucifiée, seulement pour augmenter les douleurs psychologiques. Le soleil dardait ses rayons directement sur son visage. Une lueur crue entrait même par les paupières fermées. La langue enflait, la salive était comme de la laine froissée. Les mains et les pieds se mettaient à enfler. Le "sédile" pressait sur les parties génitales. Il était impossible de se tourner et de changer de position. Le tressaillement musculaire commençait.

Mais l'horreur débutait seulement.

Jusque-là, ce n´était qu´un jeu d´enfant.

Les muscles se contractaient les uns après les autres, ce qui provoquait de fortes crampes. Il n´y avait aucun moyen d´y échapper ou de les repousser, aucune main secourable pour masser et apaiser. Les crampes venaient jusqu'aux épaules et à la poitrine. Elles descendaient jusqu´à l´abdomen.

Après deux heures sur la croix, les muscles du corps n'étaient plus que des nœuds durs et l´agonie dépassait le seuil du supportable. Les femmes criaient jusqu'au stade de la folie. Leurs corps étaient secoués de tremblements incontrôlables pendant des heures ponctuées par les cris inhumains des crucifiées.

Les douleurs et les symptômes étaient les mêmes que pour le tétanos (état des muscles sous contraction permanente).

La  mort était plus cruelle et plus atroce que celle que provoque le tétanos - la contraction lente et continuelle de chaque muscle. La mort sur la croix prolongeait l'agonie le plus longtemps possible.

Chaque heure devenait une éternité.

De temps en temps, des crampes raidissaient la nuque et la tête s'appuyait alors sur le poteau vertical. Les femmes la bouche grande ouverte demandaient la mort, leurs corps n’en pouvaient plus.

Il y avait des mouches et des insectes, et le jappement des chiens qui sentaient le sang. Des oiseaux de proie traversaient le ciel, traçant leurs cercles toujours plus bas.

Les heures passant, les fines veines qui mènent aux nerfs se contractaient jusqu´à l´aplatissement, et le dysfonctionnement de la circulation du sang était la cause de raidissements aux effets paralysants.

Une nouvelle douleur attaquait celui qui était sur la croix : les muqueuses endolories.

Sur la croix, la souffrance n'avait pas de fin. Seules la manière et l'intensité des souffrances changeaient. Les cotes devenaient saillantes allongeant les seins, les ventres se creusaient par l’allongement des corps. Des jets d’urine jaillissaient de temps en temps des sexes torturés par la sédile.

Pour celles qui résistaient la nuit apportait la fraicheur mais pas la fin des souffrances qui devenaient infernales. Les râles des crucifiées résonnaient dans la nuit .Elles imploraient la mort qui ne voulait pas d’elles encore.

Les soldats avaient tendance à accélérer la mort pour celles résistantes au bout de quelques jours. Ils commençaient à casser les os. D'une échelle, un légionnaire frappait également d'un coup violent la hanche droite à l´aide d´un gourdin, et brisait la cuisse. Un deuxième coup encore plus violent, et la cuisse gauche était brisée.

Cela amenait de nouvelles souffrances inhumaines pour les crucifiées qui ne pouvaient plus se redresser sur leurs pieds.

La respiration devenait haletante et le regard lourd. La tête roulait sur le coté la bouche sèche grande ouverte présageant la fin prochaine.

Le corps de la femme ne réagissait plus, ses cuisses s’écartaient montrant un sexe en sang. Les bras étaient tendus à l’extrême, les seins étirés sur des cotes saillantes qui ne se soulevaient pratiquement plus avec un ventre très creusé par la position et la douleur.

La tête enfin basculait sur l’avant les yeux exorbités par la douleur et la bouche grande ouverte qu’elle n’arrivait plus à exprimer.

La crucifiée mourrait en silence.

 

 

 

Par pamela - Publié dans : tortures
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